Paroles 64

LA PLUS BELLE POUR ALLER DANSER

Paroles de Charles Aznavour et musique de son beau-frère, Georges Garvarentz

Cette chanson, extraite du film « Cherchez l’idole », sera un immense succès dans le monde entier et particulièrement au Japon. Cette chanson est devenue une incontournable du répertoire de Sylvie. Première interprétation à l’Olympia de janvier 1964 où des critiques spécialisés affirmaient qu’avec cette chanson, Sylvie avait subjugué les Beatles eux-mêmes !
Il existe beaucoup de reprises de cette chanson.
En 2014, le quotidien espagnol El País sélectionne « La plus belle pour aller danser » parmi les 10 plus belles chansons françaises, faisant figurer Sylvie aux côtés de Gainsbourg, Ferré, Reggiani, Barbara, Vian ou Brel.
On peut entendre la chanson « La plus belle pour aller danser » dans un spot publicitaire pour la Caisse d’épargne diffusé dans les années 1998/1999, pour la Fête du cinéma en 2019 et dans l’interprétation de Chris Garneau dans une pub pour Renault en 2021.

Ce soir je serai la plus belle pour aller danser, danser
Pour mieux évincer toutes celles que tu as aimées, aimées
Ce soir je serai la plus tendre quand tu me diras, diras
Tous les mots que je veux entendre murmurer par toi, par toi

Je fonde l’espoir que la robe que j’ai voulue
Et que j’ai cousue point par point
Sera chiffonnée, et les cheveux que j’ai coiffés
Décoiffés par tes mains

Quand la nuit refermait ses ailes, j’ai souvent rêvé, rêvé
Que dans la soie et la dentelle
Un soir je serai la plus belle
La plus belle pour aller danser

La plus belle pour aller danser
La plus belle pour aller danser

Tu peux me donner le souffle qui manque à ma vie
Dans un premier cri de bonheur
Si tu veux ce soir cueillir le printemps de mes jours
Et l’amour en mon cœur

Pour connaître la joie nouvelle du premier baiser
Je sais
Qu’au seuil des amours éternelles
Il faut que je sois la plus belle
La plus belle pour aller danser


UN AIR DE FÊTE

Paroles de Jean Renard et musique de Jeff Barnel.

Chaque jour dans les rues
Je te cherche partout
Tu ne donnes plus signe de vie
Et pourtant moi je cours
À travers tout l’amour
Que j’ai gardé rien que pour lui

Un air de fête
S’élève dans ma tête
Dès que je pense à lui
Et même s’il m’oublie
Un air de fête
Qui jamais ne s’arrête
Et me rappelle
Les jours passés avec lui

Tous les mots qu’il m’a dits
Que je n’oublie jamais
Et ses bras qui m’ont tant donné
Je les sens près de moi
Et j’y crois malgré moi
Comme si rien n’avait changé

Un air de fête
S’élève dans ma tête
Dès que je pense à lui
Et même s’il m’oublie
Un air de fête
Qui jamais ne s’arrête
Et me rappelle
Les jours passés avec lui

Et me rappelle
Les jours passés avec lui


DUM DI LA

Paroles de Georges Aber – Musique de Sylvester Bradford & Annette Tucker

(Chœur)
Oho dum di la di dum di la di do
Oho dum di la di dum di la di do

Tu veux savoir pourquoi je l’aime
Oho dum di la di dum di la di do
Et pourquoi je pars malgré ta peine
Oho dum di la di dum di la di do

Lui, il me comprend, j’oublie tous mes ennuis
J’oublie le temps quand je suis avec lui
Quand rien ne va, il sait bien me parler
Alors que toi, tu m’as bien fait pleurer

Oho dum di la di dum di la di do
Oho dum di la di dum di la di do

Adieu, je pars puisque je l’aime
Oho dum di la di dum di la di do
Il est trop tard, quoi qu’il advienne
Oho dum di la di dum di la di do

Lui, il me comprend, il sait me consoler
De ces tourments que tu m’as fait endurer
Quand rien ne va, il sait bien me parler
Alors que toi, tu m’as bien fait pleurer
Oh oui, je l’aime
Oho dum di la di dum di la di do
Malgré ta peine
Oho dum di la di dum di la di do
Oh oui, je l’aime


NE L’IMITE PAS

(C. Mayfield / M. Roblin)

Aussitôt que tu la vois
Très vite ton cœur bat
Tu voudrais bien posséder son cœur
Oui mais sans toi elle a trouvé le bonheur

Ne cherche pas
À copier celui qu’elle aime déjà
Ne l’imite pas
Ne l’imite pas

Ne t’habille pas comme lui
Et ne marche pas dans la rue comme lui
Car pour avoir des chances de lui plaire
Sois bien différent sans faire de manières

Ne cherche pas
À copier celui qu’elle aime déjà
Ne l’imite pas

Ne fais pas ça, non
Ne fais pas ça, non

Elle t’aime bien
Ça ne te suffit pas
Tu voudrais bien
L’avoir à toi

Ne cherche pas
À copier celui qu’elle aime déjà
Ne l’imite pas
Ne l’imite pas

Et ne danse pas comme lui
Et si toi tu comptes aussi la posséder
Si même un jour ils se séparaient
Là, dans tes bras, elle se retrouverait

Ne cherche pas
À copier celui qu’elle aime déjà
Ne l’imite pas

Ne fais pas ça, non
Ne fais pas ça, non
Ne fais pas ça, non


TE VOICI

(Mean Woman Blues – C. De Metrius / P. Guitton – R. Bernet)

Huuuuumm
Elle est finie ma peine, te voici, ouais !
Bien finie ma peine, te voici
Je ne regarderai plus l’heure, c’est fini

On va recommencer, oui, encore à s’aimer
Mes pleurs, je les oublierai
Elle est finie ma peine, te voici
Chaque nuit sera la meilleure, te voici

Rien n’est si tendre que notre amour
Qui nous soutiendra de jour en jour
Elle est finie ma peine, te voici
Tous les pleurs du passé se meurent, te voici
Ouais !

Oh non, ne dis rien
Laisse-moi t’embrasser
Car ma vie, c’est de t’aimer

Elle est finie ma peine, te voici
Je dis adieu à ce qui pleure, te voici
Eh !

Finie ma peine, finie ma peine, oh finie ma peine, finie ma peine
L’amour nous ouvre sa demeure, te voici


CAR TU T’EN VAS

Moi qui t’enlaçais fort
Tout contre moi
Moi qui te serrais si fort
Grisée de joie
Moi qui te sentais toujours à mes côtés
Me voilà seule, seule sans toi,
Car tu t’en vas

Moi qui te suivais des yeux quand tu marchais
Moi, moi qui n’avais jamais encore pleuré
Moi qui te voyais partir
Quand je devais rester
Mes yeux en pleurent, pleurent pour toi
Car tu t’en vas

Moi qui te parlais d’un avenir pour deux
Moi qui t’embrassais
Toi seul, toi seul me comprenais
Moi qui souriais toujours avant de nous séparer
Car tu t’en vas

Mes bras sans toi
Mes yeux sans toi
Ma voix sans toi
Me rendent si triste
Car tu t’en vas


SHA LA LA

R. Mosley, R. Taylor – Adaptation : G. Aber

Sha la la la la la la
Jamais mon amour ne finira
Sha la la la la la la la
(Chœur)

Il a dit les mots que j’attendais
Maintenant tout est bien changé
Voilà pourquoi j’ai le cœur en joie
Il a dit que jamais ça ne finira

Sha la la la la la la
Jamais mon amour ne finira
Sha la la la la la la la
(Chœur)

Il m’a dit que ça durera
Et tant pis pour qui n’y croit pas
Non, ce n’est pas l’amour d’un jour
Il a juré de m’aimer toujours, mais oui !

Sha la la la la la
Jamais mon amour ne finira
Sha la la la la la la la
(Chœur)

Sha la la, chantez avec moi
Sha la la la, j’ai tant de joie
Je veux la partager, ça ne finira jamais
Sha la la la la la


LA VIE SANS TOI

Jones / Brown – Adaptation : G. Aber

Je vais seule au long des rues
Dans la nuit je peux mieux rêver
À l’amour que j’ai perdu
Que rien depuis n’a remplacé
Et voilà pourquoi plus rien ne va
Je ne vois plus la vie sans toi

J’ai menti, bien sûr je sais
Depuis ce jour j’ai des regrets
C’est trop tard, dis-moi
Que faut-il faire pour me faire pardonner ?
Pour nous aimer encore une fois
Je ne vois plus la vie sans toi

Non, je n’ai rien que mon ennui
Et mon chagrin aussi au long de ma vie
Chaque nuit j’espère et prie
Dans l’espoir de voir ton retour
Oh je t’en supplie, je veux te prouver encore mon amour
Oh je t’en supplie encore une fois
Je ne vois plus la vie sans toi
La vie sans toi, la vie sans toi


IL N’A RIEN RETROUVE

Aber / Vartan / Legrand

Il a marché le long des rues
La nuit, le jour, comme un perdu
Dans cette ville, il a marché
Pour retrouver
Un amour qu’il n’a jamais pu oublier
Des amis qui aujourd’hui sont mariés
Il n’a rien retrouvé
Dans cette ville où il est né

Il a marché le long des rues
Le jour, la nuit, comme un perdu
Dans les rues
Dans cette ville, il revenait
Vers son passé
De son grand amour il n’est plus rien resté
Son meilleur ami lui était étranger
Il n’a rien retrouvé
Dans cette ville où il est né

Il a marché le long des rues
Le jour, la nuit, comme un perdu
Dans les rues
Et comme je lui souriais
Il m’a raconté :
« C’est dur un passé qui s’en va
Je ne suis qu’un étranger, pardonnez-moi
Je n’ai rien retrouvé
Dans cette ville où j’suis né. »
(Bis)


L’HOMME EN NOIR

(Oh Pretty Woman) – Roy Orbison

Bruit de bottes
L’homme est arrivé
Bruit de bottes
Ils se sont regardés
Sans rien dire
Un homme en noir
Qui le cherchait
Il n’a rien dit
Il s’est levé
Bruit de bottes
Un regard de défi
Tête haute
Il a pris son fusil
Sans rien dire
Cet homme en noir
Il l’a suivi
Et dans la rue, ils sont partis

Rien ne peut les arrêter
Tous deux, ils vont s’affronter
L’un ou l’autre y laissera sa vie
Oh mon Dieu, ayez pitié de lui
Car je l’aime
Je vous en prie
Faites qu’il me revienne
Je vous supplie

Face à face
Ils sont prêts à tirer
Face à face
Que va-t-il arriver ?
Quoi qu’on fasse
Les jeux sont faits
Je sais
Cet homme en noir veut le tuer
Tous les regards sur eux sont braqués
Et mon cœur bat à se briser
Je prie pour lui
Pour qu’il me revienne en vie
Pour qu’il me revienne en vie
Il l’a tué


L’AMI DES MAUVAIS JOURS

(G. Aber – E. Vartan)

L’ami des mauvais jours, quand plus rien ne va
Ça ne s’oublie pas, et voilà pourquoi
L’ami des mauvais jours, de mes jours d’ennui
Jamais je n’oublie, mon meilleur ami

Celui qui partageait, mes espoirs et me consolait
Aux plus mauvais moments, le plus souvent
Quand rien ne souriait vraiment

Celui qui est resté, sans jamais me quitter
Quand j’avais le cœur gros, il avait le mot
Pour me consoler, me faire oublier

L’ami des mauvais jours, des jours de chagrin
Qui vous tend la main, le meilleur copain
Pour lui j’aurai toujours au fond de mon cœur
Une part meilleure, les jours de bonheur

Jamais je n’oublierai, celui qui m’a encouragée
Quand tout semblait perdu
Il est venu, au moment où rien n’allait plus

Celui qui est resté, sans jamais me quitter
Quand j’avais le cœur gros, il avait les mots
Pour me consoler, me faire oublier

L’ami des mauvais jours, quand plus rien ne va
Ça ne s’oublie pas, et voilà pourquoi
L’ami des mauvais jours, de mes jours d’ennui
Sera pour la vie, mon meilleur ami

Celui qui partageait, mes espoirs
Et me consolait, aux plus mauvais moments
Le plus souvent, quand rien ne souriait vraiment


N’OUBLIE PAS QU’IL EST A MOI

(D. Clark – M. Smith / G. Aber)
Adaptation par Georges Aber de « Can’t You See That She’s Mine » de Dave Clark et Mike Smith, membres du Dave Clark Five.

Oh n’oublie pas qu’il est à moi
Et chaque fois qu’il est là je te vois
Tourner autour
Lui faire la cour
Oui je te vois

Oh et puis tu peux danser
Et je ne voudrais pas t’en empêcher
Mais surtout n’oublie pas que maintenant il est à moi

N’oublie pas qu’il est à toi
Car dans tes yeux je lis à chaque fois
Que tu voudrais me l’enlever oui je le vois

Oh tu lui fais de beaux sourires
Et ne crois pas que tu me fais souffrir
Oh surtout n’oublie pas
Que maintenant il est à moi

Je crois bien que tu as tout fait
Ailleurs tu devrais bien chercher
Des garçons il n’en manque pas
Oui tu en trouveras

N’oublie pas qu’il est à moi
Et pourquoi lorsque je ne suis pas là
Tu dis souvent des mots méchants je sais tout ça

Oh des amis me l’ont dit
Et tu crois qu’entre nous tout est fini
Je t’en prie n’oublie pas que maintenant il est à moi, oui oui !

N’oublie pas qu’il est à moi
Et chaque fois qu’il est là je te vois
Tu perds ton temps en essayant ne vois-tu pas ?

Ouais avec lui tu peux danser
Et je ne voudrais pas t’en empêcher
Mais surtout n’oublie pas que maintenant il est à moi
Oh mais surtout n’oublie pas que maintenant il est à moi


OUI, PRENDS-MOI DANS TES BRAS

(J. Little – D. Oppenheim – I. Schuster / M. Roblin)
Adaptation par Manou Roblin de « Hold Me », chanson écrite et composée par David Oppenheim et Irma Schuster, chantée par Bud Shays en 1933.

Chaque matin tu es auprès de moi
Quand le soleil m’ouvre les yeux
Mais hélas dès que tu t’en vas
Je suis dans un monde sans joie

Prends-moi dans tes bras oui prends-moi oui
Donne-moi la joie d’être aimée
Oh tiens-moi enlacée oui tiens-moi
Toute la vie pour t’aimer ce n’est pas assez
Houuuuu

Dis-moi que tu m’aimes dis-moi oui
J’ai tant fait de rêves insensés
Oh prends-moi dans tes bras oui prends-moi
Toute la vie pour t’aimer ce n’est pas assez
Houuuuuuuu

Tout bas maintenant tu murmures tout bas oui
Que moi je suis faite pour toi
Oh prends-moi dans tes bras oui prends-moi
Et mes lèvres te diront tout mon émoi
Eh mes lèvres te diront tout mon émoi
Oh prends-moi dans tes bras et garde-moi auprès de toi
Encore une fois
Prends-moi dans tes bras et garde-moi auprès de toi


LE JOUR QUI N’EN FINIT PAS

(Love Has Laid Its Hands on Me – J. Kennedy – M. Singleton)

Ah comme il est long
Le jour qui n’en finit pas
Car je m’ennuie loin de toi

Oh je tourne en rond
Lorsque tu n’es pas là
Ce jour n’en finira pas

Long, bien trop long
Quand je tourne en rond
Alors je traîne
Comme une âme en peine

Ah qu’il est long
Mais quand la nuit viendra
Tu me prendras dans tes bras

Ah comme il est long
Le jour quand tu t’en vas
Quand on aime à ce point-là

Oh je tourne en rond
Je lui en veux parfois
Au jour qui n’en finit pas

Long, bien trop long
Quand je tourne en rond
Alors je traîne
Comme une âme en peine

Ah qu’il est long
Mais quand la nuit viendra
Tu me prendras dans tes bras

Je retrouverai ma joie
Longs sont tous les jours loin de toi


VIENS DANSER LE SURF

(USA – P. Anka / G. Aber)

Viens danser
Le surf nous entraîne oui
Viens danser
Ton cœur est en peine
Viens danser
Oh tu vas l’oublier

Au long du chemin
Il y a toujours
Tu le sais bien
D’autres amours
Pour oublier
Les mauvais moments
Il faut danser
Profites-en

Viens danser
Le surf nous entraîne
Viens danser
Ton cœur est en peine
Viens danser
Ouh et tu vas l’oublier

Ne t’en fais pas l’ami
Un jour tu verras
L’amour s’en vient
Quand il s’en va
On croit mourir puis on aime encore
Oublie tout ça sois le plus fort

Viens danser
Le surf nous entraîne
Viens danser
Ton cœur est en peine
Viens danser
Et tu vas l’oublier

Un jour tu m’as dit
Rappelle-toi
Que les chagrins ne durent pas
Ça fait très mal mais tu le sais bien
Puisque toujours l’amour revient

Viens, viens danser
Le surf nous entraîne
Viens danser
Ton cœur est en peine
Viens danser
Ouh tout va recommencer

Oh viens danser
Le surf nous entraîne
Viens danser
Ton cœur est en peine
Viens danser
Ouh il faut recommencer

Viens, viens danser
Le surf nous entraîne


MEDLEY « HELLO PARIS »

AVEC FRANÇOISE HARDY & PETULA CLARK

Petula, je suis seule ce soir, oh si seule ce soir !
Sylvie, mais non ! y’a moi,
Petula, Sylvie !
Françoise, mais non ! y’a moi
Petula, Françoise !
Ensemble :
« Y’a nous, nous, nous, nous, nous, nous
Nous on est dans le vent, hen, hen
Nous on est dans le vent hen, hen
Dans le vent hen hen, dans le vent hen, hen
À chacun son temps »

Françoise :
C’est le temps de l’amour
Le temps des copains et de l’aventure
Quand le temps va et vient, on ne pense à rien
Malgré ses blessures

Sylvie, avec un accent anglais imitant Petula :
Cœur blessé torturé
Petula :
Quoi !
Sylvie :
Par tout le mal que tu m’as fait
Petula :
Ça alors !

Petula :
Hé hé ! pas cette chanson, pas cette chanson,
Car c’est ma chanson

Ensemble :
Houa ! Houa ! Houa !

Françoise :
Si je chante !
Sylvie :
C’est à moi, c’est à moi ouais, c’est à moi ouais
Françoise :
Alors ! chante avec moi
Petula :
On va chanter ensemble
Ensemble :
La, la la la la la, comme ça on est d’accord !

Françoise :
J’suis d’accord pour Richard Anthony,
Petula :
J’suis d’accord pour Claude François aussi,
Sylvie :
J’suis d’accord… mais moi ! je préfère…
Petula et Françoise :
Ha ! Qui ? Qui ?
Sylvie :
Les gens l’appellent l’idole des jeunes
Ensemble :
L’idole des jeunes

Françoise :
Je n’attends plus personne
Non je n’attends plus rien, c’était toi ou personne
C’est toi ou ce n’est rien, je n’attends plus personne
Et toi le sais-tu bien, oui toi qui m’abandonnes
Pour t’en aller plus loin, pour toi c’est très facile
Tu poursuis ton chemin, allant de ville en ville
Sans jamais avoir besoin de quelqu’un
Je n’attends plus personne
Car tu es reparti, ce que la vie me donne
N’a plus le même prix, pour toi c’est très facile
Tu ne t’arrêtes pas, allant de fille en fille
Sans jamais, que tu reviennes sur tes pas
Te souciant peu que j’ai le mal de toi
Te souciant peu que j’ai le mal de toi.

Petula :
Toi qui m’as fait pleurer
Sylvie se penche pour voir si Petula pleure, se redresse rassurée
Petula :
Oui ! toi je veux t’oublier, j’en ai eu trop de peine
Rien ne peut l’effacer, toi ! qui m’a fait pleurer, oh yeah !

Sylvie :
J’ai fini de pleurer mes amours passées
Et je me sens revivre
Dans la joie qui m’enivre
Et me délivre
Je me sens, vivre, vivre
Fini de pleurer.

Françoise :
Ton meilleur ami vient bien souvent me voir
Sylvie, fronçant les sourcils se penche pour regarder Françoise :
L’ami des mauvais jours, quand plus rien ne va
Ça ne s’oublie pas, et voilà pourquoi
L’ami des mauvais jours, de mes jours d’ennui
Jamais je n’oublie, mon meilleur ami
Celui qui partageait, mes espoirs et me consolait
Aux plus mauvais moments, le plus souvent
Quand rien ne souriait vraiment
Celui qui est resté, sans jamais me quitter
Quand j’avais le cœur gros, il avait le mot
Pour me consoler, me faire oublier
L’ami des mauvais jours, des jours de chagrin
Qui vous tend la main, le meilleur copain
Pour lui j’aurai toujours, au fond de mon cœur
Une part meilleure, aux jours de bonheur
Jamais je n’oublierai, celui qui m’a encouragée
Quand tout semblait perdu
Il est venu
Au moment où rien n’allait plus.

Ensemble :
Petula :
Hé ! One more time, encore une fois
Ensemble :
Puisqu’on est toutes les trois
One more time, encore une fois
Allons-y à cœur joie
Et Sylvie, Françoise et toi Petula
Nous n’allons pas nous quitter comme ça

On ne se voit pas assez souvent
Cette fois, profitons-en
One more time, encore une fois
Nous on ne s’en va pas
One more time, encore une fois
Mais maintenant on s’en va.

Les commentaires sont clos.