Ci-dessous tous les hommages rendus à Sylvie Vartan par ses contemporains
Georges ABER (parolier) :
“Déjà Sylvie avait une façon de chanter bien à elle ! C’est à ce moment là que j’ai su qu’elle allait réussir ou en tout cas qu’elle en avait la possibilité”.
Isabelle ADJANI (comédienne) :
“Le premier 45-tours que je me suis acheté avec mon argent de poche était le disque de Sylvie Vartan “La Plus Belle pour aller danser”. Je la trouvais si jolie en photo à côté de ce beau garçon qui s’appelait Johnny. Que mon personnage parle d’elle dans Adieu vinyle, c’est un clin d’œil !” (interview Télé-Loisirs de septembre 2023).
Keren ANN (chanteuse-compositrice) :
“Sylvie a une identité forte. C’est une “mama” particulièrement solaire, une diva dans le bon sens du terme. C’est un bonheur de créer un panoramique autour d’une telle voix”. (2)
Richard ANTHONY :
“Très vite, il m’est apparu que cette fille allait faire une grande carrière… J’ai rarement vu quelqu’un d’aussi ambitieux… Sylvie avait le besoin de réussite chevillé au corps”. Sylvie est celle d’entre nous qui a le mieux réussi. Sans doute est-ce celle qui le méritait le plus. Par son travail, par sa constance, par sa fidélité et son respect vis à vis du public, par son adresse avoir su éviter les faux pas. Pour avoir toujours sur refouler la haine pour ne donner que de la poésie et de la fantaisie”. Déclaration extraite du livre paru chez Michel Lafon en 1994 “Il faut croire aux étoiles”
Daniel ARSAND (romancier) :
“Il y eut “Par amour par pitié”, et la blonde Bulgare fut la princesse de mon adolescence ; boudeuse, charnelle, et le regard triste, et des jambes sublimes. Et sa voix m’électrisait, m’électrise toujours. Pourquoi ? Je l’ignore, demandez à mon cœur”.
Arthur H (chanteur) :
“Chanter avec moi était un risque dans son monde à elle. J’avais des souvenirs de Sylvie dans les émissions des Carpentier que je regardais, gamin. C’est une diva. Et les divas, c’est drôle, c’est vivant. C’est un vrai personnage fantasmatique qui, en plus, a réussi à faire l’amour avec un mec lourd comme un cheval mort. C’est ce que dit la chanson de Johnny “Que je t’aime », non ?” (2).
David ASSARAF (auteur-compositeur) :
“C’est quelqu’un d’important dans la chanson française, elle a quelque chose de Barbara, je trouve”. (2)
Charles AZNAVOUR (chanteur-compositeur-interprète) :
“Sylvie est tout ce que j’adore sur scène : belle et spectaculaire”.
Jean-Luc AZOULAY (producteur ex-secrétaire de Sylvie) :
“Si je devais définir Sylvie en un mot : F O R M I D A B L E !!!”
Didier BARBELIVIEN : (auteur-compositeur-interprète) :
“Dans les 60′ j’aimais vraiment les chansons de Sylvie et même si à l’époque, il n’y avait pas 50 chanteuses, Sylvie se démarquait déjà des autres… De dire que sous la cuirasse, elle est vraiment sensible, même si elle a tenu le décor en place toute sa vie avec une grande dignité. Le mot qui caractérise Sylvie, c’est le mot dignité”. (1)
Brigitte BARDOT : (actrice-interprète) :
“Je l’adore ma Sylvie, petite sœur lointaine mais proche par tant de détails de vie, de souvenirs rigolos de notre jeunesse. Elle est bien plus sérieuse que moi, bien plus travailleuse que moi, bien plus fidèle que moi, mais quelque part je me retrouve en elle”.
Extrait de “Moi je joue” paru en 2017
Bruno BATLO (danseur) :
“D’emblée, je fus frappé par le charisme de cette femme. Une image qu’on ne chasse pas comme ça de sa tête. On m’avait dit que Sylvie était une bosseuse, et ça s’est vérifié. Elle bossait tout le temps ! Une vraie “pro” doublée d’une maman toujours aux petits soins, allant jusqu’à vérifier dans votre assiette, au restaurant, ce que vous mangez pour s’assurer que vous ne manquez de rien”.
Francis BASSET (auteur-compositeur) :
“Sylvie avait un truc à elle, elle faisait fantasmer… j’étais fan. J’aimais le personnage. Aujourd’hui toutes les chanteuses chantent pareil, Sylvie s’est toujours détachée par rapport aux autres. Sa voix avait de la personnalité. Elle était raccord avec ce qu’elle est dans la vie. Il y avait un charisme”. (1)
Micha BAYARD (comédienne) :
“Ce qui est formidable avec cette fille, belle, talentueuse, qui était alors au sommet de sa gloire, c’est qu’elle n’avait pas la grosse tête. Sans citer de noms, ce n’était pas le cas de tout le monde. Je la voyais, et je la vois toujours comme une femme très belle et perfectionniste dans son travail. Elle ne faisait pas de manières, ce n’était pas la star exigeante qui tempête pour un oui ou pour un non. Un vrai bijou” !
Nathalie BAYE (actrice) :
“Cette femme est un paradoxe vivant. Sous une image blonde et sophistiquée se cache une petite fille candide et touchante qui m’émeut”.
Marie-Paule BELLE (chanteuse) :
“La dernière fois que j’ai vu Sylvie sur scène à l’Olympia, j’ai adoré sa façon de chanter « Mon enfance » de Barbara. C’était très émouvant. C’est une fille qui aurait pu montrer d’autres facettes de son talent, que ceux qu’elle a montrés jusqu’ici. Elle est très gentille en plus” (propos recueillis par le magazine digital Je suis Musique en décembre 2023).
Benabar (compositeur-interprète) :
“Sylvie Vartan présente et lointaine… 2mn 25 de bonheur sur ma playlist. J’ai également un attachement pour La Maritza aussi poignante qu’entrainante. Je la chante à mes enfants : lala la lala lalalaaaa !”
Dominique BESNEHARD (agent) :
“Dans mon esprit, son nom est synonyme de récompense ; chaque fois que j’avais bien travaillé, je recevais de l’argent que je destinais aux disques de Sylvie Vartan. Quand on disait qu’elle chantait mal, je la défendais toujours. Quand je lisais dans France Dimanche qu’elle avait été sifflée au Cannet, j’en étais malade. Pour moi à l’époque, elle était la plus grande. Après l’Olympia 64, je l’ai revue au casino de Deauville en 68. Sylvie avait le bras cassé qu’elle portait en écharpe. Eh bien, malgré cela, elle en imposait à tout le monde. La salle était pleine à craquer et attentive. Incontestablement, on avait à faire à une star (…). J’ai été ébloui par l’un de ses premiers show, en 1970 à l’Olympia qui marquait son grand retour après son deuxième accident de voiture. Au lieu de céder à la dépression et au découragement, elle est allée à N.Y. subir des opérations chirurgicales et en même temps suivre des cours de danse ; elle a créé un spectacle à l’américaine qui mariait la musique, les chansons et les numéros avec des danseurs, une première en France pour une vedette venue de la variété (…). Si on avait dit au petit garçon de Dives-sur-Mer qui pour la première fois achetait un disque de Sylvie Vartan (En écoutant la pluie) qu’il serait 50 ans plus tard, ami avec elle et pourrait lui parler tous les jours, il aurait eu beaucoup de mal à y croire ! Ce disque je l’ai toujours et il y a peu j’ai demandé à Sylvie de me le dédicacer “Mon DoDo qui aurait pu imaginer ? C’est toi le cadeau, celui de l’amitié. Je t’aime. Sylvie”. (…)
“Moi aussi je l’aime, comme au premier jour, et même plus qu’au premier jour puisque maintenant je la connais”
Extrait de Casino d’hiver, paru en 2014.
Pierre BILLON (auteur-compositeur) :
“Douce, sensuelle, drôle et marrante. J’ai adoré travailler avec Sylvie Vartan pour qui j’ai écrit quelques chansons. Tout le monde était amoureux de Vartan. Celui qui dit le contraire est un menteur”.
“Le couple Johnny&Sylvie, tellement beau qu’il était indissociable”.
Ronnie BIRD (compositeur-interprète) :
“J’aime bien certains titres de Sylvie. C’est une des seules chanteuses françaises exportables. S’il y avait un spectacle français à présenter à l’étranger, il faudrait l’inclure d’autant plus qu’elle est prête à faire beaucoup de bonnes choses”.
Marc BOHAN (couturier) :
“Je n’ai habillé Sylvie Vartan qu’à la ville. Première chanteuse dont je me sois occupé, elle était une cliente adorable, qui aimait qu’on lui présente les possibilités qu’offrait un modèle, les différentes étoffes… Guidée par une grande curiosité, elle n’avait pas d’a priori négatif et exprimait ses goûts sans jamais être dictatoriale contrairement à certaines clientes, je ne l’ai jamais vue faire de caprices. Sylvie vivait d’une façon décontractée qui n’avait rien de sophistiqué dans le mauvais sens du terme. Elle a toujours eu ce don du chic et a su, instinctivement, “enlever” une petite robe ou une jupe, leur donnant du chien par son allure et sa personnalité. Outre sa très jolie silhouette, Sylvie est sûre d’elle, à juste titre. Prenant les choses telles qu’elles sont, elle en joue de manière qu’elles lui aillent. C’est une qualité à laquelle un couturier est très sensible”
Gérard BOUSQUET (photographe)
“Je n’ai pas souvent eu la chance de photographier la ravissante Sylvie Vartan. Mais c’est en 1968 que je fis quelques clichés d’elle sur un voilier au large de la Côte d’Azur, au cours d’une croisière organisée par une grande radio. Je la revis ensuite sur une tournée de Johnny qu’elle accompagnait parfois.
Plus tard, par l’intermédiaire de son secrétaire, Carlos, je devais réaliser avec elle une série pour Salut les copains à l’hôtel Martinez de Cannes. Malheureusement, je loupai le rendez-vous à cause… d’une panne de voiture !
Je garde d’elle le souvenir d’une jeune femme séduisante et très simple, contrairement à l’image de la star qu’elle était déjà.” Source : IDOLES, JOURNAL D’UN PHOTOGRAPHE 1967-1975 (Ed Nouveau Monde, 2016)
Jacques BRACHET (journaliste) :
“La petite collégienne du twist de 17 ans venue de Bulgarie est devenue une grande star à force de persévérance, de travail, de courage, de passion et de talent enfin et surtout. Car on ne reste pas impunément en haut de l’affiche s’il n’y avait ni travail ni talent. D’autres sont montés très vite et sont redescendus de même. Elle, elle est restée, et à 60 ans, elle est superbe, flamboyante” !
Georges BRASSENS (poète, auteur-compositeur-interprète) :
“J’ai toujours eu une pointe d’estime pour tout jeune débutant qui choisit courageusement de tenter de faire plaisir, d’émouvoir en montant sur une scène, en affrontant un micro. Qu’une petite chanteuse de variété qui était partie d’un village de Bulgarie à l’âge de 10 ans soit une vedette dans son nouveau pays à 17 ans et à 20 ans se maintienne numéro 1 plus d’un an au hit parade, au Japon, de l’autre côté de la terre, on est forcé d’admettre que cette artiste sorte du rang. On m’a reproché d’avoir été le seul à ne pas décrier le yéyé, la montée des Beatles. La petite Sylvie a eu des débuts peu convaincants, une voix intéressante plutôt voilée, interprétation sans relief et une matière première d’un calibre peu élevé. Mais des qualités exceptionnelles de professionnalisme, d’acharnement au travail et d’enthousiasme lui ont permis d’atteindre les objectifs louables : devenir une artiste de variété performante, remarquable.
De plus nos brèves rencontres lors de l’enregistrement d’Emilie jolie m’ont permis d’apprécier que cette jeune femme qui était alors une très grande vedette, était par ailleurs d’un naturel chaleureux , charmante et très gentille… Par ailleurs, je ne m’offusque pas outre mesure que vous ayez pu un instant imaginer que j’aurais accepté , à la demande de mes producteurs, de rendre à une consœur de la même écurie, un hommage qui ne soit pas sincère. C’est bien mal me connaître” (à propos de l’enregistrement de l’album collectif Emilie Jolie, en 1980)
Jean-Claude BRIALY (comédien) :
“Sylvie Vartan était la chouchoute, un peu la fille de Maritie Carpentier. Elle était jolie, intelligente, travailleuse et enjouée. Maritie veillait à son bonheur”
Extrait de “J’ai oublié de vous dire ” paru en 2005.
Brigitte (chanteuses) :
“Pour nous, Sylvie c’est une moue, un costard Saint-Laurent ultra sexy, une crinière blonde et une voix grave : féline et émouvante.”
Carla BRUNI (auteure-compositrice-interprète) :
“Sylvie m’inspire une certaine fascination. Il y a à la fois en elle une femme exquise et une grande dame, du fait de sa manière d’être, malicieuse, drôle et de l’admiration qu’elle suscite…. Sylvie est devenue un type de femme fatale qu’elle n’est pas dans la vie. Ni allumeuse, ni séductrice, ni joueuse. Le look de toute sa vie est celui de son adolescence. Cette espèce de charme fou, elle l’a encore.”
“Sylvie la belle, drôle ou sérieuse, douce et rêveuse et douloureuse… intemporelle Sylvie la femme, claire-ténébreuse, mère-fille-épouse ou amoureuse… de toute son âme, Sylvie l’icône proche ou lointaine, blonde et souveraine comme une lionne… ou une sirène Sylvie la voix, basse et soyeuse, sage, mystérieuse comme soucieuse… comme le bois
“Sylvie l’amie forte et fidèle jamais cruelle, jamais d’oubli, jamais d’effroi…Sylvie la tendre et sa tendresse avant toute chose comme une promesse… Sylvie l’unique, incorruptible, insaisissable, enchanteresse. Sylvie l’enfant, Sylvie la mère, Sylvie le temps qui nous déchire… Sylvie la jeunesse éphémère et Sylvie l’instant d’un désir… Sylvie c’est toi, Sylvie c’est moi, l’ange gardien de nos histoires…Sylvie de nos rêves d’ici-bas, de nos souvenirs dérisoires… Alors voilà pour toi ma ritournelle pour toi ma Sylvie… éternelle.” (4)
Benoit CACHIN (journaliste) :
“Je ne peux pas oublier ce jour où Sylvie m’a reçu dans sa loge. Dans ses yeux, de la tendresse, dans les miens du respect. Respect pour celle qui un samedi de juillet 1976 m’avait ébloui. Un coup de foudre artistique, d’un simple regard. Sylvie chante comme elle vit, intensément, avec son cœur.”
Interview 2017
“C’était un très beau couple à la scène comme à la ville. Je ne vois pas qui peut les égaler; ils ont fait ensemble plusieurs milliers de reportages-photos, c’est délirant tout ce que j’ai pu trouver pour mener à bien ce livre (NDLR “Sylvie & Johnny” éditions Grund). Même en 2020, pour moi, le couple Sylvie/Johnny reste le plus glamour de la chanson française.”
Lydie CALLIER (danseuse-chorégraphe) :
“Sylvie était très aimée par l’ensemble des danseurs, pour la bonne raison qu’elle ne se mettait jamais en exergue. On voyait d’abord la femme avant de voir l’artiste. A aucun moment, elle n’a fait valoir son statut de star, et pour ça, chapeau !”
CARLOS (ex-secrétaire de Sylvie, chanteur) :
“Pourquoi ai-je passé dix ans de ma vie avec Sylvie Vartan ? Parce que je partageais avec Johnny un amour étonnant pour cette femme. Parce que j’aimais sa force et sa fragilité. Parce que j’éprouvais pour elle une grande tendresse. Parce qu’elle était slave comme moi et que d’une certaine façon nous avions la même sensibilité, partagions les mêmes joies et les mêmes peines”.
Extrait de “Je m’appelle Carlos” paru en 1996.
“C’est une grande artiste et une femme adorable. J’ai été son secrétaire pendant une dizaine d’années. Elle m’a vraiment mis le pied à l’étrier dans la Chanson et je garde un super souvenir de nos 2mn35 de bonheur qui se sont transformées en 10 ans de joie ! Sylvie c’est une femme, un cœur, une star” !
Extrait de “Ma boite à souvenirs” paru en avril 2008
Maritie CARPENTIER (productrice de télévision) :”Sylvie est une grande professionnelle doublée d’une femme de cœur sensible et talentueuse. Nous l’avions aimée dès la première minute sans savoir qu’elle deviendrait une amie pour la vie”.
Extrait de “Merci les artistes”
Christophe CASANAVE (auteur-compositeur) :”
“Je ne vous connaissais que par vos chansons et vos spectacles car vous êtes la Star Absolue de ma Maman qui me blondissait les cheveux jusqu’à mes onze ans pour que je ressemble à votre fils David … Aujourd’hui je vous ai rencontrée grâce à une chanson que je vous ai proposée avec Eric Chemouny aux paroles et Philippe Russo à la direction Artistique que je remercie vivement… Et ce fut un Grand Immense Bonheur. Je me suis retrouvé comme un Enfant de 5 ans à jouer avec vous du piano tout en rougissant de timidité et de joie effrénée. Merci pour votre gentillesse réelle votre classe absolue, votre beauté et votre voix incontournable et puissante… Merci, ce fut pour moi un très grand moment”
Post Facebook de l’artiste (Avril 2021)
Eric & Christian CAZALOT (auteurs de livres) :
“Sylvie ressemble à la troublante bête fauve que photographia Helmut Newton, instinctive et ne se laissant apprivoiser qu’avec difficulté. Femme généreuse, fatale aussi, caméléon sous les boules à facettes, elle offre, se reprend, malmène et attache intensément. Elle est une artiste mais un symbole surtout. Elle incarne l’image même de la féminité et de la modernité, indépendante et affirmée. Il n’y a pas de hasard. Ce sont à la fois ce pouvoir d’identification et son style inimitable qui l’ont consacrée, depuis ses débuts et au long de toutes ces décennies, comme une icône… Melle Vartan est incontestablement la dernière représentante d’une époque révolue, celle des vraies stars.”
Interview 2015 / Interview 2021
Henri CHAPIER (journaliste) :
“Dans sa froideur perfectionniste, dans le mystère qui l’entoure, dans le secret de ses passions, il ne faut voir aucun calcul, sinon que le naturel l’emporte sur tout le reste, et qu’en conséquence, le seul statut qui convienne à Sylvie, c’est d’être star.”
Eric CHEMOUNY (journaliste, auteur de chansons) :
“C’est quelqu’un que j’aime beaucoup, humainement et artistiquement. Elle observe beaucoup les gens avant de leur accorder sa confiance et son amitié.” (1)
Bruno COQUATRIX (ancien Directeur de l’Olympia Paris) :
“Avec ses longs cheveux blonds, sa souplesse et sa grâce, Sylvie apparait comme une princesse revenue dans notre monde moderne pour personnifier l’image d’une certaine jeunesse : celle qui a l’amour du travail et le respect des valeurs morales. Le charme de son sourire efface dans le cœur des moins jeunes le poids des années passées et leur donne une palme de Chevaliers… ou de Dulcinées. Ainsi Sylvie conquiert tout un monde. Pourtant elle ne possède pas de baguette magique. Sa popularité, elle l’a acquise par son courage et sa ténacité. Sa voix n’a pas une très grande ampleur, mais Sylvie a su exploiter toutes les possibilités nuancées de ses cordes vocales, toutes les ressources de sa sensibilité. Les épreuves et les coups durs ne l’ont pas épargnée. Ils ne l’ont pas abattue. Elle a fait front, elle a lutté. Elle a gagné. Cette fleur d’Europe Centrale a su trouver en elle toutes les forces vives, la beauté, la finesse et le charme qui font d’elle une vraie fleur de notre Paris.”
Jean-Loup DABADIE (Homme de Lettres, Académicien) :
“J’aime Sylvie parce que qu’elle ne se donne pas le mal de tromper qui la passe en jugement, parce qu’elle ne débite pas des phrases empruntées aux livres que lisent les autres, parce qu’on peut la lapider sans qu’elle ne se méfie jamais” (Magazine Candide, 1964).
Camilio DACCACHE journaliste) :
“Sylvie, à la fois muse et général de bataillon sachant exactement ce qu’elle veut, et comment tirer le meilleur de chacun tout en motivant ses troupes. Sylvie, pour qui d’ailleurs chacun se damnerait encore et encore, tout simplement parce qu’elle le vaut bien. Et parce que dans un environnement où grouillent egos surdimensionnés et jalousies féroces, elle réussit le miracle de briller tout en restant attentive aux autres sans la moindre once de malveillance. Rien que pour cela, chapeau l’artiste !”
Etienne DAHO (auteur-compositeur-interprète) :
“Sylvie a une personnalité intense. Elle donne beaucoup. Elle est très présente et diffuse une bonne énergie, stimulante pour un musicien. C’est toujours festif de chanter avec Sylvie. Elle a besoin d’absolu pour vibrer… Farouche, attachée à l’enfance, timide, nostalgique, volontaire, généreuse, telle est Sylvie.”
Sophie DAVANT(Journaliste) :
“J’ai la chance d’avoir vécu plusieurs coups de foudre dans ma vie. Ma première rencontre avec Sylvie Vartan en est un. Je l’ai connue lors d’un dîner chez un ami avocat. Il m’avait confié son histoire personnelle, le rôle que l’icône de la chanson avait joué dans son enfance et dans sa construction : une lumière, un espoir ouvert sur une liberté entrevue. Les chansons de Sylvie lui ont permis de tenir patiemment des mois et des mois avant qu’il ne puisse se libérer d’un handicap qui le privait d’autonomie. Il se raccrochait à la moindre parole pour trouver la force de combattre le mauvais sort qui s’était acharné sur lui. Il a eu la chance de la rencontrer, de devenir son avocat, et surtout son ami, sans jamais, lui révéler leur passé commun… jusqu’à ce que je m’en mêle ! Mais ça c’est une autre histoire…
Je l’ai donc rencontrée lors d’un dîner qu’il avait organisé chez lui pour fêter la parution du livre que Sylvie avait consacré à sa mère, « Maman »… en présence de personnalités pour la plupart médiatiques, et qui avaient en commun une immense admiration pour elle. Ayant été bercée par Brel, Brassens, Maxime Le Forestier ou encore Barbara, je suis passée à côté de la vague yé-yé, et je me sentais ce soir-là bien ignorante du répertoire de Sylvie. Je ne l’avais jamais vue sur scène, en dehors de ses prestations dans les émissions des Carpentier ou de ses apparitions aux côtés de Johnny, au Parc des Princes, par exemple. J’ai été immédiatement touchée et conquise par la femme, avant de l’être par l’artiste : solaire, simple, presque « normale », intelligente, revenue de tous les excès de ce milieu… d’une lucidité et d’un instinct implacables ! Toujours curieuse, je n’ai pu m’empêcher de la soumettre à un véritable interrogatoire, sous les yeux médusés des autres convives qui s’interdisaient d’oser. Elle a répondu avec franchise, spontanéité… et un certain amusement. Nous nous sommes reconnues, je crois, et nous avons constaté que nous avions des tas de points communs, notamment le regard que nous posons sur la célébrité et la fatuité qui l’accompagne parfois, l’amour terrien que nous portons aux choses simples de la vie, et notre goût pour la gent canine !“
N°2 magazine S – Sophie Davant – janvier 2021
Jean-Jacques DEBOUT (compositeur-interprète) :
“J’ai tout de suite vu que Sylvie deviendrait une reine du Music-Hall. Je me souviens que les gens me prenaient pour un fou, à commencer par Eddie Vartan ! Je ressentais en elle une artiste extraordinaire. Je me disais “quand le public la découvrira, il ne la lâchera plus, et il ira toujours la chercher”. Sylvie est quelqu’un de rare. Tout le monde aime Sylvie, tout le monde est content qu’elle chante. Aujourd’hui, c’est une grande dame de la Chanson. C’est une fille intelligente et émouvante. Elle ne s’est jamais prise au sérieux. En revanche, elle fait son métier sérieusement. Au fond, elle n’en a jamais fait toute une histoire d’être Sylvie Vartan ! C’est sans doute sa force.”
Pierre DELANOE (auteur de chansons) : “J’ai pour Sylvie une réelle estime. C’est une belle artiste, capable d’animer un show de classe internationale. Elle est gentille et gaie. C’est un lieu commun que de vanter son esprit travailleur et son acharnement à réussir ce qu’elle entreprend. Mais c’est aussi une fille “bien”. Chaque fois que je la rencontre, je me sens bien avec elle.”
Extrait de “La vie en chantant”, livre publie en 1980
Gerard DEPARDIEU (acteur) :
“C’est aujourd’hui à coup sûr une grande dame de la Chanson Française.”
Natalia DONTCHEVA (comédienne) :”J’ai rencontré une femme d’une humanité, d’une profondeur…Sylvie elle vit pour les autres. Elle est d’un professionnalisme incroyable. J’ai rencontré au cours de ma carrière deux ou trois célébrités. Sylvie n’a jamais utilisé son statut de vedette. Ce qu’elle voulait, c’est qu’on soit tous ensemble.”
Renaud DONNEDIEU DE VABRES (ex-Ministre de la Culture et de la Communication 2004-2007) :
“Sylvie Vartan, “idole des jeunes”, aimée et respectée des Français, vous êtes l’une des ambassadrices de la chanson comme de l’élégance françaises dans le monde… Vous portez haut les couleurs de notre langue, de notre culture, mais aussi nos valeurs de solidarité, de fraternité. Vous avez écrit les plus belles pages de la chanson française, à laquelle vous avez offert un immense rayonnement international. Vous serez toujours pour nous, a l’évidence, La plus belle pour aller danser.”
DORIAND (compositeur-arrangeur) :
“Sylvie a une vraie sagesse, elle ne se regarde pas souffrir, c’est sa force. C’est une artiste lumineuse. Elle ne se plaint jamais, elle ne parle jamais des moments difficiles qu’elle a traversés. Elle a une espèce de saudade, de mélancolie des gens de l’Est, des méditerranéens aussi. Elle aime les bonnes choses, elle est épicurienne. Elle me fait rire, c’est un soleil.” (2)
Anne DUCROS (chanteuse de jazz) :
“C’était une chanteuse d’une beauté absolue dans les années 60, Sylvie Vartan” (…) “J’aime son énergie communicative” (…) D’une certaine façon, sur la scène, cette femme-là m’a beaucoup inspirée” (au micro de France Inter en 2023).
Roger DUMAS (comédien, auteur de chansons) :
“Sylvie, c’est une lumière. Elle a la flamme que seuls les grands possèdent. C’est quelque chose qui ne s’invente pas, on l’a ou on ne l’a pas ! On était tous un peu amoureux d’elle comme à l’école on en pince pour la même fille, celle que tout le monde aimerait avoir. On ne pouvait pas succomber à son charme. Elle était ensorcelante, Sylvie. J’aimais lui mettre des mots dans la bouche, lui inventer des situations, des décors ; je le voyais évoluer dans mes mots comme un couturier voit son modèle tournoyer dans ses robes. Elle fait partie des bons moments de ma vie.”
Annie ERNAUX (romancière, prix Nobel de littérature) :
“Durant cette période, je n’ai pas écouté une seule fois de la musique classique, je préférais les chansons. les plus sentimentales, auxquelles je ne prêtais aucune attention avant me bouleversaient. Elles disaient sans détour, ni distance l’absolu de la passion et aussi son universalité. En entendant Sylvie Vartan chanter alors c’est fatal, animal, j’étais sûre de ne pas être la seule à éprouver cela. Les chansons accompagnaient et légitimaient ce que j’étais en train de vivre”.
Elle FANNING (actrice américaine) :
“En ce moment (2012 NDLR), mon icône est Sylvie Vartan, une chanteuse francaise des années 60. J’adore ses couettes et sa frange, ses robes baby-doll et les longues chemises de nuit “Virgin Suicides”.
Liane FOLY (chanteuse-imitatrice-animatrice) :
“J’aime Sylvie, la femme et l’artiste, son talent, sa pudeur, sa simplicité, sa positivité, sa classe naturelle, son franc-parler. Elle ne triche pas. Nous nous connaissons depuis de nombreuses années et elle sait mon admiration et mon attachement d’âme sœur même si nous ne nous voyons pas autant que nous le souhaiterions réciproquement. Elle représente et défend de belles valeurs de liberté, d’indépendance, de tolérance, de désir permanent. Préférée des intellectuels, muse des cabarets transformistes, adulée par ses fans transis, Vartan est un modèle. On la pastiche, on s’identifie à elle, on la copie, on la caricature. Belle, resplendissante mais aussi bouleversante dans l’interprétation ciselée de ses ballades intimistes, elle reprendra Barbara, Brel. Ce grand écart est une totale réussite. Sylvie aime les challenges, les défis, l’échange avec le public, les voyages, elle transmet de la douceur. Elle nous est “familière ». S’il y avait une chanson, une seule, à choisir pour la définir, j’opterais pour le sublime texte si original que lui a écrit Jean-Loup Dabadie “Aimer”. Sylvie le conjugue si bien, ce verbe aimer, et à tous les temps. Je souhaiterais la remercier, l’honorer, l’applaudir, la féliciter, l’encourager, l’espérer la chérir et l’aimer, l’aimer, l’aimer”.
Frédéric FRANCOIS (compositeur-interprète) :
“Quelle fille ! Elle appartient à la race de ceux (et de celles) que l’on appelle des “bêtes de scène”. Ne vivant que pour son métier et ceux qu’elle aime, elle rejoint actuellement les mythes, les monstres sacres ; ce qui prouve qu’elle plait énormément. Je ne parlerai pas de sa carrière. Elle a fait ses preuves et je n’ai qu’un mot à dire : BRAVO !”
Elodie FREGE (auteure-compositrice-interprète) :
“C’est une ensorceleuse qui danse autant qu’elle sait émouvoir.”
Michel FRESNAY (styliste, couturier) :”Indéniablement, Sylvie est celle qui m’a le plus intéressé, surtout en tant que personnage. C’est quelqu’un d’aimable, de très gentil. Une femme comme l’on en rencontre rarement, surtout dans ce métier, très fidèle en amitié. Simple, belle, intelligente, accessible et farouchement indépendante, Sylvie ne posait de barrières qu’autour de sa vie privée. La préservation de son intimité, c’est une règle d’or pour elle. Elle a horreur que l’on pénètre dans son jardin secret. Horreur”.
Romain GARY (Romancier) :
“Merci d’avoir de si bons rapports avec la vie. Vous avez en vous une force nerveuse peu commune. Vous ne vous laissez pas grignoter par l’extérieur, et c’est tellement, tellement rare… Je voudrais vous ressembler !”
(Lettre du 5 juin 1974 in “Irrésistiblement” de Camilio Daccache)
Jean Paul GAULTIER (styliste-couturier) :
“Sylvie Vartan a marqué ma jeunesse : c’est “La Maritza”, icône de mode. Elle a toujours su surpasser les époques et les modes. Travailler avec elle fut une expérience comme elle : unique !”
Franck GERALD (auteur de chansons) :
“J’ai toujours suivi la carrière de Sylvie avec une admiration que je n’avais pas forcément au début… Mais j’ai été très vite émerveillé par son professionnalisme. C’est une bosseuse extraordinaire.”
Nelly GIRAUD (habilleuse) :
“Pour l’avoir suivie à Paris et sous tous les chapiteaux de France, au Japon, aux Etats-Unis, au Brésil et ailleurs, et pour avoir été à ma plus grande joie au service des plus grands, de Mylène Farmer à Johnny, en passant par France Gall et Yves Montand, je puis affirmer que c’est une fille bien. Elle a besoin d’une confiance absolue dans les gens avec qui elle travaille.”
Chantal GOYA (chanteuse) :
“Sylvie je l’adore ! Nous avons élevé nos enfants ensemble. J’ai peu d’amis dans ce métier, mis à part Charles Trenet avec qui je dinais régulièrement, Johnny, et Sylvie qui a accouché de David en août 1966 et moi en juin de Jean-Paul. Lorsque Jean-Jacques (Debout) a rencontré Sylvie, elle n’avait que 14-15 ans ! Il était très ami avec son frère Eddie, et vous savez, lorsqu’on partage des liens comme ça, c’est indestructible.”
LA GRANDE SOPHIE (auteure-compositrice-interprète) :
“Tout le monde sait que j’aime beaucoup Sylvie et que je voulais écrire pour elle depuis longtemps. Un jour, j’ai entendu dire que Sylvie cherchait des chansons pour un futur album. J’ai donc écrit “Personne” sans connaitre Sylvie mais avec les idées que j’avais d’elle… Je me reconnais tout à fait dans l’image d’une grande amoureuse fidèle. Comme Sylvie, je pense !” (2)
Francois GRANON (journaliste) :
“Sylvie Vartan est la star familière, pas celle qu’on admire, celle qu’on aime. L’Etoile qui vient de la Terre et non du Ciel. C’est une file craquante. C’est vrai.”
Juliette GRECO : (chanteuse-comédienne) :
“Les nouvelles chanteuses yé-yé étaient ravissantes. Françoise Hardy était absolument magnifique, Sylvie Vartan aussi, un plaisir des yeux. Et puis toutes ces chansons n’étaient pas si idiotes : Sylvie Vartan chantait des choses extrêmement bien écrites. “Comme un garçon” c’est plein d’humour, mais on ne faisait pas le même métier. Je l’ai d’ailleurs dit un jour à un journaliste qui s’était empresse de lui rapporter sous une couleur qui n’était pas celle que je désirais. J’avais juste dit “Melle Vartan et moi ne faisons pas le même métier”. C’est un fait. Moi je ne danse pas, je ne monte pas mes jambes et je ne suis pas blonde ! Les gens aiment bien les clivages… Pourquoi ? “
Jerryka JACQUES GUSTAVE (choriste) :
“Je l’aime toujours ma madone. Je lui dirais “allez Sylvie on refait des concerts, on repart” ! Cette femme est très belle, magnifique.”
Arnaud GUYOT-JEANNIN (journaliste) :
“Une beauté froide et aristocratique alliée a un regard mystérieux et pénétrant, la blondeur angélique de ses cheveux se couplant à une silhouette ensorcelante, telle apparait Sylvie Vartan qui captive aussi son interlocuteur par un charme mélancolique très slave, une voix à la fois distincte et distinguée, ainsi qu’une gestuelle doublée d’une grâce infinie. Son visage contient une telle émotion et une telle timidité justement retenue que l’on éprouve la sensation d’assister à une transmutation de son être. Son allure sensuelle et ses paroles inspirées troublent toujours nos contemporains.”
David HALLYDAY (musicien-compositeur-interprète) :
“C’est la maman que tous les enfants rêvent d’avoir : attentive, attendrissante, juste, loyale, sensible… enfin tout ce qu’un enfant a envie d’avoir près de lui. En grand-mère, oui, elle est un peu gâteuse quand même, mais là encore elle est toujours juste. Je pense qu’elle aurait pu être une avocate brillante, elle a le sens de l’équité. C’est un don chez elle et grâce à ça, elle a fait peur a beaucoup de gens néfastes dans notre entourage.
“Ma mère a toujours une cote de popularité importante. Les émissions qui lui sont consacrées ont toujours du succès. Elle a su durer et elle a mené une carrière internationale. Pour une femme, dans ce métier, c’est très rare. Elle a eu une vie tumultueuse. Mais les gens passionnés ont forcément un rapport extrême avec l’existence.
“Avec moi, elle a toujours été hyperprotectrice. A juste titre, d’ailleurs… même si je vous disais que je trouvais ça trop excessif à l’époque ! Elle a toujours donné beaucoup d’amour. Et à tout le monde, pas seulement à moi ! Ma mère est quelqu’un de très juste. De très têtue, aussi. C’est quelqu’un d’exceptionnel, qui donne beaucoup. En fait, elle a tout du Lion : juste, droite et impulsive.”
David HALLYDAY : Interview Michel Drucker – Vivement Dimanche France 2 – 04 avril 2004 / 2eme déclaration “Questions De Femmes” – juillet 2007
“Quelle femme, d’abord. Ce regard dominateur, cette voix qui entoure , qui ensorcelle, son orgueil solitaire, et puis cette façon qu’elle a de traverser une avenue comme elle traverse la vie : en souveraine.
Derrière cette impression de très grande dignité, partagée avec le public, il y a les souvenirs d’une mère dont l’amour pour les siens s’est montré infaillible…
Ma mère ne se laisse pas impressionner par les difficultés, c’est une battante, une guerrière. C’est une âme forte avec un optimisme résolu….
Et cependant, elle est dotée d’un sens de la dérision formidable ; il y a de tout dans l’humour, particulièrement dans le sien”.
“On parle toujours des succès de mon père et de son insolente notoriété, mais ma mère, elle, a une carrière internationale, et avec ses 65 albums, 1500 chansons et 40 millions de disques vendus, elle peut regarder “le métier” d’en haut”.
David HALLYDAY : Meilleur album (autobiographie parue au Cherche Midi en 2023)
Johnny HALLYDAY (chanteur-acteur) :
“Avec Sylvie notre relation amicale a mis des mois avant d’évoluer. Jusqu’au jour où j’ai réalisé que je l’aimais comme je n’avais jamais aimé aucune femme. Sans qu’il ne se soit rien passé entre nous. Son absence m’était intolérable.
“Sylvie je la préfère à tout. Elle est ma préférence a moi comme le chante si joliment Julien Clerc.”
“Sylvie, selon l’homme que je suis à présent, c’est : la femme, l’avenir et l’aventure”.
“Nous sommes, nous serons toujours très proches, Sylvie et moi. Amis. Complices. Les années 60 nous ont précipités dans un tourbillon vertigineux. Tous les deux, nous avons dévoré l’existence et les succès en vivant la plus belle des passions. On nous associera toujours et c’est bien. Je n’oublierai jamais ces dix-sept années de vie commune et David”.
(à Michel Drucker) : “Moi je suis heureux souvent, malheureux aussi souvent parce que je suis instable, je le sais et j’en souffre, mais pour moi le bonheur s’appelle la scène. Quand je chante je suis très très heureux. Actuellement je suis ravi que ma femme ait atteint son but et cela sans mon aide. J’ai découvert, avec le public de la “première”, la Sylvie Vartan 1968. Je suis très fier d’elle”.
Sources : “Sylvie je la préfère à tout”… Johnny Raconte Hallyday – Ed. No1 Filipacchi – aout 1979 / “Sylvie et moi les années 60 nous ont précipités…” Interview Paris-Match No 2299 – 17 juin 1993 / “Allez France” du 5 janvier 1969
Francois HANSS (réalisateur) :
“J’ai découvert une femme avec des valeurs, le sens de la filiation, des choses à dire et à transmettre. En résumé, j’ai découvert une femme exceptionnelle au-delà de l’artiste. “(2)
Françoise HARDY (auteure-compositrice-interprète) :
“Vu de l’extérieur de mes années 60, Sylvie avait tout ce que je n’avais pas : beaucoup de volonté, de cran, mais aussi de féminité… l’art d’occuper la scène, de s’habiller, de se mettre en valeur… entre autres. D’une grande simplicité dans l’intimité, elle assumait bien mieux que moi ce qui était de l’ordre de la représentation, capable de se comporter en véritable star quand les circonstances l’exigeaient.”
Extrait de “Le désespoir des singes… et autres bagatelles” publie en 2008
“Je crois que nous représentions chacune, un type de fille différent. Nous n’en étions pas conscientes, mais rétrospectivement c’est flagrant. Je me suis toujours bien entendue avec Sylvie. Elle est comme moi quelqu’un de très naturel et spontané. Je peux la perdre de vue pendant dix ans sans jamais m’en éloigner vraiment. D’avoir vécu les mêmes choses au même moment crée des liens presque familiaux.”
“Sylvie a une force de volonté incroyable. Moi, si j’ai envie un jour de faire quoi que ce soit avec quelqu’un et que je sens la moindre réticence, je n’insiste pas, je m’excuse même avant de partir en courant… Alors que Sylvie, c’est le contraire. Du moment qu’elle a décidé quelque chose, elle ne tient pas compte des réticences et réussit à imposer sa volonté”.
Robert HOSSEIN (acteur et metteur en scène) :
“On se connait avec Sylvie depuis ses débuts. Elle était belle, belle. Elle avait un côté sauvage. Elle savait ce qu’elle voulait, elle avait une volonté belle, belle”.
Propos extraits de l’émission “C’est votre vie” du 16/10/93
Francis HUSTER (acteur-comédien) :
“Comme Jeanne Moreau et Line Renaud, Sylvie a une terrible rage de vivre. C’est ce qui la rend précieuse. Elle a quelque chose de très personnel, de très rare. Si elle avait été américaine, elle aurait fait une carrière comme celle de Monroe”.
Joniece JAMISON (choriste-chanteuse) :
“De 1980 jusqu’à maintenant, je dois toutes ces énormes expériences et cette belle vie d’artiste a ma rencontre avec Sylvie Vartan. C’est Sylvie qui m’a emmenée en France et c’est grâce à elle que je suis là. Sylvie Vartan est vraiment mon porte bonheur et je ne l’oublierai jamais.”
Extrait d’une interview donnée pour le site laparisiennelife.com en 2018
François JOUFFA (journaliste, animateur radio-télévision) :
“J’ai toujours pensé que, d’une certaine manière, le couple que formaient Johnny & Sylvie a eu une importance comparable à celle de Jean-Paul Sartre et Simone de Beauvoir…. Ils étaient jeunes, ils étaient beaux, ils avaient du succès et ils étaient reconnus par la société des adultes. Ils incarnaient eux aussi une forme de liberté nouvelle, presque révolutionnaire.”
Benoit KAUFMAN (arrangeur-chef d’orchestre) :
“Je crois que Sylvie a toujours été gracieuse et qu’elle a eu sa part du gâteau. Elle est très sérieuse, elle s’intéresse beaucoup à ce qu’elle fait. Elle est toujours là, elle fait son truc et il y a toujours des fans. Cette fille est incroyable, et je ne la vois pas dans un rôle de Mamy.”
Philippe LABRO (journaliste-écrivain-metteur en scène) :
“Sylvie peut tout chanter, La Maritza ou autre, comme Johnny. Ils symbolisent tous deux ce qui fut un des tournants de la chanson française. Sylvie est restée une artiste, cohérente dans ses choix de musiques et de paroles, tout en devenant une femme accomplie et équilibrée. Même si nous nous voyons rarement aujourd’hui, nous avons gardé ces souvenirs communs de nos conversations, rencontres, rires – j’aime beaucoup son rire, d’ailleurs -. J’éprouve à son égard, non seulement de l’admiration, mais une grande affection. Sylvie, c’est un des grands chapitres de la chansons française”.
Alain LANTY (compositeur-pianiste) :
“J’ai surtout un grand respect pour le parcours de Sylvie. On ne peut pas faire une carrière comme la sienne sans humilité, sans humanité, sans travail et bien entendu sans talent.”
Jacques LEBLANC (journaliste rédacteur en chef de Jukebox Magazine) :
“Boudeuse ou rayonnante, rockeuse ou glamour, naturelle ou sophistiquée, Sylvie irradie. Depuis plus d’un demi-siècle, elle berce notre vie grâce à un parcours exceptionnel, allant de l’Amérique du Sud au Japon, en passant par l’Italie, les Etats-Unis… certainement le seul réalisé par une artiste française, tout cela avec un panache flamboyant.”
Hubert LE FORESTIER (ancien secrétaire de Sylvie) :
“C’est une grande dame de cœur pour au moins trois raisons : d’une part parce qu’elle est foncièrement bonne et honnête ; elle a toujours parlé sincèrement avec son cœur, à la fois à son public et à son entourage. D’autre part, elle a toujours porté chance aux gens avec qui elle a travaillé quels qu’ils soient : producteurs, musiciens, habilleuses, chauffeurs, régisseurs techniciens, secrétaires, comme moi ou Jean-Luc Azoulay par exemple. Enfin, Sylvie est d’une fidélité à toute épreuve, et ce, malgré quelques trahisons (dont j’ai été témoin) qu’elle a vécues. Mais ses amis de toujours sont encore présents aujourd’hui. Privilégier sa famille lui permettait de garder la tête froide.”
Extrait de l’interview accordée au site officiel” en 2002
LIO (chanteuse-comédienne) :
“Sylvie, c’est quelqu’un qui me fait complètement craquer. Elle a un charme fou.”
Guy LUX (producteur-présentateur de télévision) :
“Lorsque je faisais mes émissions (Le Palmarès des Chansons, Cadet Rousselle et bien avant, d’autres encore), j’avais pour Sylvie un regard que seuls l’admiration et peut-être aussi le pouvoir d’une séduction peuvent susciter. Qui n’a pas pu résister aux charmes de Sylvie, au point qu’on aurait pu tomber jaloux de Johnny.”
Paul MCCARTNEY (auteur-compositeur et interprète) :
“Sylvie Vartan était super sympa. On est restés amis après”.
(Le Parisien, 2018).
Michel MALLORY (auteur-compositeur) :
“Sylvie a une force incroyable, une forme de magie. Pour elle, je fais du sur mesure. Si elle aime, elle donne quelque chose de sublime… elle est très pudique, mais je la connais par cœur, nous n’avons pas besoin de nous parler. Elle fait passer des choses incroyables dans ses chansons.”
“Ils (Sylvie & Johnny NDLR) étaient très amants. Deux amants magnifiques, souvent séparés par les tournées, mais dont les retrouvailles étaient toujours brûlantes. Entre eux, c’était vraiment fusionnel”.
Paul MANNERS (musicien-arrangeur) :
“Sylvie a traversé des difficultés a plusieurs périodes de sa vie de femme ou d’artiste, et aujourd’hui, on est face à une femme d’une sagesse et d’une sérénité exemplaires.”
Interview Internet – juillet 2006
Charley MAROUANI (agent des plus grands artistes français, dont Sylvie, de 1976 à 2017, année de son décès) :
“J’ai tout de suite vu en Sylvie une graine de star. Elle était belle comme un cœur, fraiche, jeune et jolie ; elle bougeait bien, c’était très mignon. Si je devais garder qu’une image de Sylvie, ce serait celle de la mère. Elle a su s’occuper de tout le monde avec une abnégation incroyable. Elle a tout porté à bout de bras et c’est une qualité qui n’a pas de mot, pas de prix. C’est une femme admirable en tout point. Elle sera toujours ma petite fille, mon “petit bébé”.”
“Elle est sans doute la chanteuse française qui a attiré le plus grand nombre de spectateurs dans le monde, tant en France qu’au Japon, en Amérique du Sud, en Italie, au Canada, en Turquie ou en Allemagne.” (2)
« Sylvie est une grande artiste, j’ose même dire « une sacrée bonne femme » ! Elle travaillait beaucoup et elle aimait ça. Il faut arrêter d’opposer les chanteurs dits »à textes » et les autres ; il y a les artistes point. Par exemple Jacques Breladorait Sylvie. En 1976 il m’avait même demandé d’assister à une répétition de Sylvie aux Buttes-Chaumont, il en était sorti enchanté. Pareil pour Georges Brassens ou Barbara, qui, eux aussi, aimaient beaucoup Sylvie. Barbara l’appelait tendrement « La p’tite » !
Je me souviens également d’Yves Montand qui, en 1981, voulait absolument voir Sylvie au Palais des Sports. Il était vexé car je ne l’avais pas invité. La raison était simple, il chantait au même moment à l’Olympia ! Il a fallu que je jongle avec les dates pour que Montand voit Sylvie, il y tenait beaucoup. Dès qu’elle passait dans le Sud, il allait la voir. La liste est longue ; il y a Aznavour également.”
(Interview publiée en 2011 dans le livret de l’album Soleil Bleu)
Dominique MARTINELLI (choriste) :
“Si elle n’est pas speed, et plutôt du genre cool mais concentrée dans le travail, Sylvie est une bosseuse, c’est quelqu’un d’organique, d’instinctif. Elle ressent les gens. Un vrai scanner ! Dans le même temps, elle a quelque chose de l’enfance qui fait qu’on ne peut pas ne pas l’aimer. Elle est choubidou Sylvie, très attachante, voilà, c’est le terme, quelqu’un d’attachant avec une énorme couche de pudeur. Et ce qui est fort, c’est qu’elle n’est pas “star” pour deux sous. En outre, elle porte l’héritage du Music-Hall qui malheureusement se perd. Et moi, j’adore. Sylvie fait ce métier comme on devait le faire à l’époque : sérieusement sans se prendre au sérieux.”
Isabelle MERGAULT (réalisatrice-scénariste-comédienne) :
“Sylvie est une icône. Pour ma pièce “Ne me regardez pas comme ça” son image collait parfaitement à ce personnage de star cloitrée chez elle. J’ai été étonnée par sa simplicité. Pour vous dire on s’est tape une bière dans le bistrot du coin ! Elle s’est montrée très enthousiaste, toute excitée. C’est quelqu’un de réservé qui ne demande qu’à lâcher la bride. Ce qui me surprend chez elle c’est sa puissance de travail !”
Eddy MITCHELL (compositeur-interprète-comédien) :
“Sylvie était dans le circuit depuis un moment. Elle était un amour, un bonbon. Je l’aimais beaucoup. D’abord, c’était une fille très jolie, ce qui ne gâchait rien, et qui a tout de suite montré qu’elle possédait une force et une intelligence assez incroyables pour pouvoir traverser cet ouragan permanent dans lequel elle s’était retrouvée coincée suite à son histoire d’amour avec Johnny. Elle avait un détachement par rapport à ce métier qui était peu courant. Elle n’avait pas forcément envie de chanter au début, elle rêvait plutôt d’être comédienne. Elle savait pertinemment que chanter nécessitait pour elle un effort, que ce n’était pas simple. Elle s’est donc livrée à une sorte de bataille personnelle. Et comme c’était déjà une conquérante et une travailleuse, elle a réussi à mener sa vie professionnelle et à s’accomplir artistiquement.”
Extrait de l’ouvrage : “Il faut rentrer maintenant”
Frédéric MITTERRAND (écrivain – ancien Ministre de la Culture et de la Communication)
A Sylvie :
“Sachez que je ne vous ai jamais perdue de vue. Même quand il y a eu l’accident, l’Amérique, votre remariage ou David ; dans les sales moments, dans ceux qui vous rendaient heureuse, et puis dans ces autres-là que je n’aimais guère, où l’on pouvait penser que vous ne vouliez plus revenir. C’est là que la nostalgie ne joue plus et qu’on peut parler d’expérience. Je ne vous ai jamais entendue porter un jugement amer sur tel évènement ou tel compagnon de votre vie, jamais. Vous réservez vos critiques pour ceux qui font du mal aux autres. Ah oui, il ne faut pas vous parler de Dimitrov qui a tant fait souffrir vos proches, c’est-à-dire beaucoup de monde en Bulgarie, ni de certains magnats du spectacle qui traitent les gens comme des kleenex, mais sur vous, vos peines, vos déceptions, et sur toutes ces petites trahisons qui tissent aussi le quotidien des jours, pas un mot, pas une plainte, ni un aveu. C’est bien d’être comme cela, alors que ce serait si facile de se comporter autrement quand toute la presse s’en montrerait si contente.”
Frederic MITTERRAND : Lettre à Sylvie Magazine ELLE – février 1991
Franck MICHAEL (chanteur) :
“J’ai toujours eu un petit penchant pour le professionnalisme de Sylvie Vartan. Son style et ses chansons me correspondant aussi, et je rêve de faire un duo avec elle.”
Jean-Baptiste MONDINO (photographe) :
“1961… dès les premières notes, les premières images, je fus conquis par cette jeune fille à l’allure garçonne, aux cheveux courts pour l’époque, avec cette mèche qui lui cachait un œil, la bouche entrouverte qui révélait cette douce coquetterie, nommée diastème… J’ai eu la chance de photographier Sylvie en 2010. Toujours aussi belle, douce et radieuse, bien dans sa peau de femme, de mère, de grand-mère, sa bouche entrouverte avec ses dents du bonheur… Sylvie for ever. ” “Son côté indiffèrent, trainant, fait qu’on l’aime. Je garde le souvenir d’une femme d’une extrême gentillesse, heureuse, ce qui est rare dans ce métier. Elle est intelligente, généreuse et bienveillante.” (2)
Marc MORGAND (chanteur-compositeur) :
“Pour moi, Sylvie est une interprète mythique.”
François NARS (photographe) :
“Sylvie a toujours constitué pour moi, depuis mon enfance, une inspiration. Son style unique et tellement moderne a grandement influencé ma carrière. Avoir eu la chance de devenir son ami ces dernières années représente pour moi une immense joie. C’est toujours un intense plaisir de photographier Sylvie J’aime son extrême féminité, empreinte de force et de fragilité. Sylvie nous fait toujours rêver. Sylvie, tu es magnifique et je t’adore!”
Extrait de “Le style Vartan” d’Éric et Christian Cazalot paru aux éditions de la Martinière en 2015
Nicoletta (chanteuse) :
“J’adore Sylvie ! C’est une amie que j’apprécie vraiment. C’est ma voisine, chaque fois qu’elle chante à Paris elle m’invite. C’est une grande travailleuse, et je trouve que c’est notre petite Star française” !
Jacques OUREVITCH (journaliste-homme de radio) :
“Sylvie volontaire, accrocheuse… Cette réserve que d’aucuns prendraient pour de la timidité, en fait c’est un formidable orgueil. Il l’a fait aller au bout de ses rêves. Elle donne souvent l’impression d’une fille d’autant plus dure, plus impitoyable avec elle-même, qu’elle a parfois à dissimuler sa tendresse, sa vulnérabilité.
Jacques OUReVITCH : “Mes noces secrètes” – Ed. de la Table Ronde – 1969
A Sylvie : Le livre de la vie est le livre suprême, qu’on ne peut ni fermer ni rouvrir à son choix ; le passage attachant ne s’y lit pas deux fois, mais le feuillet fatal se tourne de lui-même : on voudrait revenir à la page qu’on aime. Et la page où l’on meurt est déjà sous nos doigts”. Lamartine. “Le livre de ta vie y est grand ouvert Sylvie. J’y vois des passages attachants. Des pages où l’on s’aime.”
Walter PAINTER (chorégraphe américain) :
“Ma collaboration avec Sylvie ne m’a laissé que des bons souvenirs”.
Albert PENOUEL (directeur de production) :
“Sylvie est la première artiste de variétés en France avec laquelle je travaille. Du point de vue professionnel j’en connais peu qui sont à son niveau. Des défauts ? je ne lui en connais pas, mais je ne vis pas avec elle, à moins qu’être perfectionniste soit un défaut…” (3)
Serge PERATHONER (musicien-compositeur) :
“C’est un plaisir de collaborer avec Sylvie. Elle est hyper professionnelle et nous entretenons des rapports privilégiés. Elle est très travailleuse, elle connait ses textes, elle est très sérieuse. Je pense que Sylvie fait partie de notre patrimoine musical depuis toujours. C’est incontournable. Dans les années 60, on a tous été baignés par l’univers de Sylvie. Elle a fait partie de notre vie. ” (3)
Jean-Marie PERIER (photographe) :
“Je constate en revoyant mes archives, que c’est elle que j’ai le plus photographiée. Elle était étrangement belle, avec l’assurance des gens qui considèrent que la chance est un luxe qu’ils ne peuvent se permettre. Je compris pourquoi lors de notre premier séjour photographique à la montagne, quand je lui soutirai point par point les bribes de son passé. Moi qui étais tant séduit par les gens partis de rien, j’étais servi. Sylvie et moi devînmes immédiatement et pour toujours des amis pour le meilleur et pour le rire. Oserais-je dire que nous avions des conversations dignes de gamines dans une cour d’école et, à chaque fois que je la retrouve, rien n’a changé, nous les continuons. Sachant d’où elle vient, je suis fasciné par son parcours et par ce qu’elle a réussi à faire de sa vie. Si c’est elle que j’ai le plus photographiée, c’est parce que c’est elle la plus gentille, celle qui m’a toujours aidé dans les voyages, les tournées, prenant de son temps pour faire mes photos malgré la fatigue due à son infernal emploi du temps de l’époque. Je lui en sais gré encore aujourd’hui. Un détail aussi : elle était la plus jolie !”
Jean-Marie PERIER : “Mes Années 60” Ed. Filipacchi – 1998.
“Ce qui me touche le plus chez elle, c’est son parcours, son humour, sa force de caractère et le profil de son visage”. Nous avons tout traversé ensemble à distance plus ou moins proche, et, malgré les milliers de kilomètres qui séparent mon Aveyron de son Amérique, j’aurai toujours le sentiment de lui tenir la main. “
“Le mariage de Johnny & Sylvie a été l’un des temps forts de Salut Les Copains. C’était un événement énorme ! Jamais on aurait imaginé que ces deux-là, qui étaient les deux plus grands vendeurs de disques en France, tomberaient amoureux. Et c’était un amour absolument sincère. je crois me souvenir qu’il s’agit du plus fort tirage de SLC, avec un million d’exemplaires”.
“Ils étaient d’abord et avant tout des jeunes gens pour lesquels j’avais beaucoup de tendresse. D’abord parce qu’ils étaient partis de rien, ils s’étaient faits tout seuls, contrairement à moi qui était un petit bourgeois chanceux… En tant que photographe, je ne les poursuivais pas comme les kyrielles de paparazzis qui les pourchassaient, je passais beaucoup plus de temps avec eux à rigoler qu’à les photographier. Dans la mémoire de ceux qui ont connu la grande époque des années soixante et soixante dix, ils sont inséparables”.
Pierre & Gilles (peintre & photographe) :
* Gilles : J’ai découvert Sylvie avec Tous mes copains… j’ai adoré la période Yves Saint-Laurent. Il a vraiment su créer quelque chose de fort, entre modernité et glamour… Moi, j’adore les Sylvie extrêmes. Garconne ou vamp !”
* Pierre : Dans les années 60 je suivais sa vie comme on suit une héroïne de bande dessinée. Elle était la plus glamour et la plus sexy des chanteuses de cette génération. “
“Nous sommes toujours étonnés quand Sylvie Vartan déclare qu’elle n’aime pas faire des photos parce qu’avec nous, ça se passe toujours très bien. Elle s’amuse. Peut-être à cause de la théâtralité de notre démarche ! Elle est drôle aussi, c’est un truc que les gens n’imaginent pas.
Roger PIERRE (comédien) :
“Maritie et Gilbert Carpentier adoraient Sylvie, elle-même partageait leur conception du grand spectacle. Aussi ne lésinaient-ils pas pour qu’elle se sente aux Buttes Chaumont, lieu du tournage, comme chez elle. Ils la maternaient, la chouchoutaient, faisaient en sorte qu’elle bénéficie des meilleurs maquilleurs, d’une loge jolie et confortable où elle puisse se reposer. Sylvie était généreuse avec son équipe, elle nous conviait souvent à déjeuner dans les restaurants autour de la rue des Alouettes. C’était payé par la production, bien sûr, mais elle veillait personnellement à ce que tout se passe bien pour tout le monde. Une fille positive.”
Jean PONS (directeur artistique de l’Olympia et ex-manager) :
“Sylvie, c’est le travail, l’honnêteté, la droiture, la beauté… elle a toutes les qualités”.
Caroline PROUST (comédienne) :
“Elle était mon idole quand j’avais 7 ou 8 ans. Comme beaucoup de petites filles, j’avais une fascination pour les robes à paillettes et les filles assises sur les étoiles, comme c’était le cas avec Sylvie Vartan sur son fameux album “Shang Shang a Lang”.”
Philippe QUAISSE (photographe) :
“Sylvie est quelqu’un d’hyper énergique avec une vraie folie de vivre. Les dernières sessions à Nashville le prouvent encore. Elle est tellement plus jeune que tous les gens qui m’entourent et qui sont trentenaires ! Lorsque je suis avec elle, je n’ai absolument pas peur de vieillir. Souvent je me fatigue avant elle, elle vit à un rythme incroyable… bref Sylvie est lumineuse et magique !”
Franck RAGAINE (journalsite) :
“Sylvie Vartan est l’ultime Star qui inspire les plus grands. Ne se posant aucune limite, guidée par un instinct infaillible et un amour du public et de la musique, elle a tout essayé et tout réussi grâce à son authenticité. Dame de coeur, artiste au plus profond de l’âme, mère, épouse, amie puis égérie, Star et mythe. Derrière Vartan, il y a surtout Sylvie, femme sensible, élégante dans ses choix, respectueuse de l’existence, battante et volontairement déraisonnable lorsqu’elle entre en scène”… adorée par des milliers, des millions, qui ont retrouvé en elle la plus pure notion… d’aimer !”
Interviews : 2015 / 2016 / 2017 / 2018
Jacqueline REMY (journaliste-écrivain) :
“On a l’impression de tout connaitre d’elle, ses amours, ses épreuves, son accident de voiture, ses bonheurs familiaux, sa gentillesse inaltérable, son installation à mi-temps à Los Angeles. Les tubes de sa vie ont bercé la nôtre. Comme souvent, au creux de la star, palpite une personnalité plus riche et plus complexe. Derrière la chanteuse internationale, l’Amérique d’adoption, la Française qui revient voter à chaque élection, veille une petite Bulgare bouleversée. Sylvie Vartan est une fidèle. Ce n’est pas son genre de trahir. Ni ses amis, ni ses pays.”
Francois REICHENBACH (cinéaste) :
“La véritable Sylvie Vartan, la femme, la mère, l’épouse sont bouleversantes. Personne ne peut mieux qu’elle parler de son enfance, de son père… de son fils. J’ai posé une question à Sylvie : “ton fils qu’est-ce que c’est pour toi ? ” et elle m’a dit “je l’ai aimé à partir du moment où j’ai eu envie d’en avoir un”. Cette réponse, c’est Sylvie mon amie.”
Jean RENARD (auteur-compositeur-directeur artistique) :
“C’est cette chanson “La Maritza” qui l’a imposée définitivement. Et c’est avec cet Olympia 1968 qu’elle est devenue une grande vedette, une star. Sylvie, c’est la tendresse, la gentillesse, le savoir-faire, la danse, un beau corps de femme qui bouge… C’est aussi la voix qui n’était pas toujours très bien maitrisée, on le sait tous, mais qui avait une vérité incontestable, la vérité des Slaves, quelque chose de profond. Ce n’est pas une parole comme ça en l’air. Jamais les choses ne marchent quand c’est du vent ! Elle avait cette voix rauque particulière, cette cassure slave qui la rendait unique. Sylvie était un diamant à multiples facettes elle l’a affirmé des 1968 avec cet Olympia.”
Jean-Michel RIVAT (auteur-compositeur) :
“Sylvie m’a toujours inspiré, ce n’était pas difficile pour moi… “La drôle de fin” est significatif de ce que je pense d’elle : elle correspond dans ses attitudes à ce qu’aiment les hommes. C’est une icône et ça se voit dès le premier coup d’œil. C’est donc un “support” exceptionnel pour un auteur. Elle existe avant d’être chanteuse.”
Jacques ROUVEYROLLIS ( éclairagiste) :
“Elle, c’est comme un porte-bonheur accroché depuis toujours autour de mon cou. Outre le plaisir de nos nombreuses collaborations….. c’est un porte bonheur, vraiment.
Impossible de me rappeler notre première rencontre.
Elle-même est incapable de s’en souvenir. C’est comme si Sylvie Vartan et moi avions, tels un frère et une sœur, toujours été dans la vie l’un de l’autre.”
A propos du premier Palais des Congrès “Il est bon de rappeler qu’elle fut, à l’époque , la première femme en Europe à imposer ce genre de Show.”
(in “Mes années lumière” 2022)
Claude SARRAUTE (écrivaine et journaliste) :
“Elle est irrésistible, il n’y a pas d’autre mot, mince et musclée, blonde et dorée, avec quelque chose en plus, un côté “créature de rêve”, héroïne de bandes dessinées. Elle chante, elle danse, elle charme, elle se révèle à l’égal de son mari, une bête de théâtre et de cinéma, probablement, pour peu qu’un bon réalisateur veuille et sache utiliser l’éventail de ses dons” (Le Monde, circa Mars 1967).
Tony SCOTTI (producteur-directeur artistique. Depuis 1984 époux de Sylvie) :
“Elle est belle, honnête, talentueuse et loyale. C’est une travailleuse. Quand on arrive sur la préparation d’un spectacle, on n’a jamais à se soucier d’elle. C’est toujours la première aux répétitions et elle reste jusqu’à ce que tout soit parfait. Elle possède une forme d’entêtement. Si vous voulez qu’elle se plante, dites-lui que c’est facile. Mais si vous lui dites “ça tu n’y arriveras pas”, elle va se dire “tu vas voir ce que tu vas voir”… et elle gagne !”Sylvie est tout ce que l’on peut demander à une femme. Elle est douce et féminine, aussi forte qu’elle est fragile. Je ne vous dis ça parce qu’elle est ma femme, mais Sylvie est quelqu’un d’extraordinaire. L’amour qu’elle reçoit de son public est mérite, car elle est une personne exceptionnelle. Il faut que tout le monde le sache, elle n’est pas comme les autres. J’ai connu de nombreuses grandes stars, et j’ai toujours dit, je n’épouserai jamais une chanteuse ! Elles ne pensent qu’a elles avant tout. Mais pas Sylvie, elle pense aux autres avant de penser à elle. Elle ne s’occupe d’elle qu’ensuite. Sylvie n’est pas une personne extravagante, elle est très timide et n’aime pas se vanter, jamais. Mais moi je suis fier d’elle !”
Tony SCOTTI : Interviews : Michel Drucker Vivement Dimanche France 2 – 4 avril 2004 / Magazine NDTA “Hors-Serie14” – 2011
Yves SALGUES (journaliste-romancier) :
“De toutes les figures de proue qu’aura créées le show-business en cette moitié de 20ème siècle, Sylvie Vartan est à coup sur la plus attachante. Ne serait-ce parce qu’elle incarne dans un corps de Baby Doll l’âme multipliée des héroïnes de Colette.”
Jean-Marc SAGNES (Secrétaire général de l’Association Sylvie Vartan Pour La Bulgarie) :
“Je suis toujours plein d’admiration pour Sylvie. Au début, ça fait bizarre, par exemple à l’Olympia 1999, Sylvie était devenue mon amie et j’étais très proche, mais en même temps je vois cette artiste sur scène, l’icône de ma jeunesse. J’étais perturbé par tout ça, je ne savais plus trop où me situer. Heureusement depuis, j’ai remis de l’ordre dans ma tête, tout est rangé au bon endroit, et lorsque je vois Sylvie sur scène, je vois l’artiste, mais aussi l’amie en elle.” (3)
Gaëlle SARTRE-DOUBLET (Maitre es Philosophie) :
“On la voit partout : Sylvie Vartan est de retour. Gaie, libre, fière courageuse et digne, elle se raconte tout en charme du bout des lèvres, fédérant autour d’elle un stupéfiant courant de sympathie. Sylvie est “tendance” et on la découvre, ô surprise, plus profonde que nous ne l’aurions imaginé.”
Mathilde SEIGNER (actrice) :
“Sylvie, c’est une femme classe, d’une intelligence et d’une simplicité remarquables. Elle est belle, elle fait rêver et elle a un public à respecter. Je trouve extraordinaire avec tout ce qu’elle a vécu qu’elle soit restée une femme authentique. Elle a fait sa route. C’est quelqu’un de sain. C’est une femme que j’adore. J’aime bien être avec elle, j’aime bien sa présence. Elle est lumineuse. “
Yves SIMON (auteur-compositeur) :
“J’ai beaucoup aimé travailler avec Sylvie. A cette époque, je suis souvent allé la voir en concert. Je la connaissais depuis longtemps : on a toujours passé des moments formidables ensemble. C’est un bonheur de dîner avec elle. C’est la copine idéale ! Elle est charmante, drôle…”
Josette SUREAU (ancienne responsable du Fan-Club de Sylvie) :
“Son talent et sa beauté sont rares et elle sait admirablement les mettre en valeur… J’ai travaillé avec bon nombre d’artistes et je peux affirmer qu’elle est la seule dans ce métier à avoir atteint une telle envergure tout en restant aussi profondément humaine. J’en ai rencontré des mauvaises ! Ce n’est pas le cas de Sylvie.”
Frank TENOT (Homme de radio-Critique de jazz) :
“Je n’ai jamais entendu Sylvie médire sur qui que ce soit, tant dans le métier qu’à l’extérieur. Pour elle, il y a de la place pour chaque talent et chaque talent a sa place. Une fille en or et une exception dans ce milieu.”
Frank TENOT in “Le feu sous la glace” d’E. Bonini – Ed. Flammarion – 2004
Robert THOMAS, metteur en scène :
“Sylvie n’a pas encore vingt ans mais derrière elle, il y a des années qui comptent beaucoup dans une vie et des souvenirs qui pèsent lourd. Quatre metteurs en scène m’avaient déjà téléphoné avant la fin de la deuxième semaine de tournage. Quant à moi, elle m’a stupéfié ! Quand je l’ai choisie pour ce rôle après avoir reçu deux cent cinquante filles, je savais qu’elle était physiquement le personnage, mais je n’en attendais pas le quart : c’est un rôle très difficile, très varie psychologiquement. Elle joue avec une vérité extraordinaire, avec un gout de l’authenticité que j’ai rarement rencontré. Elle sent tout, c’est un “radar” ! Pour moi, c’est une nouvelle Marylin, elle en a la naïveté, la candeur, l’éclair de malice dans l’œil… Et puis elle est si adorable quand on sait la prendre.”
Jannick TOP (Musicien) :
“Il y a plusieurs facettes chez Sylvie. : le cote spectacle et paillettes et le cote famille. Sylvie sait garder ses distances avec les gens. Elle est très sensible et c’est plutôt une personne bien intentionnée. Je crois qu’elle se protège beaucoup. Globalement, elle est très franche.” (3)
Robert TOUTAN (Attaché de presse-écrivain) :
“J’ai retrouvé Sylvie Vartan, toujours belle et souriante. Mon plus beau souvenir des artistes des années 60. Elle vient toujours vers moi les bras ouverts, malgré le temps qui passe.”
“Je garde de Sylvie de très beaux souvenirs, ceux d’une toute jeune fille pleine de charme qui savait parfaitement ce qu’elle voulait. Aujourd’hui, elle est devenue une grande dame. A force de travail et de persévérance, elle a su gravir les marches du succès jusqu’au sommet sans jamais en redescendre. C’est simple : je l’adore ! Elle est le parfait exemple à suivre, et tous les jeunes de la Star Ac’ qui Dieu merci, disparaissent aussitôt qu’ils ont accédé à une soi-disant notoriété feraient bien de s’en inspirer”.
Robert TOUTAN : “Le showbiz ? Si vous saviez” Ed. Pascal Petiot – 2008
Ilona VARTAN (maman de Sylvie) :
“Il en est arrivé des aventures a cette jeune fille, ou jeune femme, désormais personnage public en France. Moi, je ne me mêle pas trop de sa carrière. Je suis heureuse d’être la mère d’une personne aussi généreuse, aussi attentive. La chose risque de vous sembler démodée, je ne sais pas… n’empêche, Sylvie s’est montrée de tout temps, et continue de se montrer, respectueuse de sa mère à un point que je saurais dire assez bien. Elle me couve de cadeaux, ne manque pas une occasion de s’intéresser à moi, de me faire plaisir. Ce sont je crois des relations devenues rares. Pour moi elle restera à jamais, glorieuse ou non, une enfant profondément aimée.”
Eddie VARTAN (musicien-compositeur, frère de Sylvie) :”Je suis fier de ma petite sœur. Soyons honnêtes : si l’on m’avait interrogé sur le personnage qu’est devenue Sylvie en France, jamais je n’aurais avancé un pronostic indiquant qu’elle risquait de parvenir à une popularité aussi grande, ni aussi durable… C’est exact, à ses débuts, j’étais là : en particulier lorsqu’elle a enregistré “I’m watching you” en 1963, ou “2mn 35 de bonheur” en 1967. Mais la preuve la plus évidente que Sylvie a découverte seule, à force de réflexions personnelles, qui elle pouvait être, et quels moyens, quelles techniques utiliser pour parvenir à cerner le meilleur d’elle-même, c’est que, pendant pas mal d’années, je me suis trouvé assez loin d’elle, et qu’en tout cas, je ne suis jamais intervenu dans ses options professionnelles. S’il y a en 1980, sur le territoire français un “phénomène” Sylvie Vartan, je crois que seule, elle en a été l’auteur. Sur le plan vocal, elle a un timbre qui lui est propre, singulier, et c’est déjà beaucoup. Je veux dire par là que Sylvie n’a rien à voir avec de grandes vocalistes telles Shirley Basset, Barbra Streisand ou la défunte Callas… elle ne saurait y prétendre d’ailleurs. L’important c’est qu’elle ait (or ne la détient-elle pas ?) sa personnalité. Et c’est une fille merveilleuse. Je l’adore !”
Hugues VASSAL (Photographe) :
“Entre Johnny & Sylvie, c’était une authentique passion. Ça se voyait dès qu’ils étaient ensemble, à leurs regards, à leurs gestes : c’était presque palpable tellement c’était intense. Encore aujourd’hui, quand je regarde les photos d’eux que j’ai faites à cette époque, je suis frappé par tout ce qui se passe dans leurs yeux, lorsqu’ils se regardent l’un l’autre… Johnny & Sylvie, c’était les amoureux de Peynet.”
Eric VINCENT (journaliste) :
“C’est vrai qu’il faut, maintenant plus que jamais, lui donner un nom à Sylvie. Elle a su, tout en conservant précieusement en elle la simplicité d’hier, mériter un nom – avec deux majuscules – dans la grande famille du music-hall international. Sylvie tout court, c’était le rock, les rêves dores et l’Ideal. Sylvie Vartan c’est une façon de chanter, c’est un art de vivre et de souffrir, c’est une artiste contemporaine au plein sens du terme.Elle a un cœur gros comme ça. Et quand on la regarde, quand on se laisse imprégner de sa grâce et de sa fraicheur, on est assez fier de se dire que, finalement, l’important n’est pas ce qu’elle a appris (et elle en a appris des choses !) mais ce qu’elle a en elle.”
Jacques WEBER (Comédien) : “C’est une femme extrêmement généreuse, extrêmement gentille”. Et à propos de Johnny et Sylvie : “Ce sont des gens intelligents et magnifiques. Des gens qui n’ont pas la même culture que la mienne mais que je respecte beaucoup” (Télé matin, le 3 juin 2024).
Webmaster (Laurent@sylvie-vartan.com) : “C’est très difficile de relier la femme sympa et naturelle que je commence à connaître avec la chanteuse glamour qui se met en scène. Il faudrait peut-être que je l’interviewe quand elle est en costume de scène pour réaliser que c’est une seule et même personne ! Sur le plan artistique, c’est sur scène qu’elle manifeste toute sa créativité, et sa capacité à se renouveler m’épatera toujours”. (Interview accordé à NTDA)
Interviews : 2001 / 2003 / 2005 / 2007 / 2009 / 2012 / 2017 / 2018
Christophe WILLEM (auteur-compositeur-interprète) :
“Elle est l’emblème du glamour éternel. Enigmatique et intemporelle.”
(1) “Dictionnaire des chansons” de Benoit Cachin paru en 2005
(2) Livret Fnac de Soleil Bleu paru en 2010
(3) Hors-série n°06 du magazine “Nos Douces et Tendres Années” de septembre 2009
(4) “La plus belle pour aller chanter” de Benoit Cachin paru en 2017
Merci à Brigitte Deal pour sa contribution à cette rubrique