Théâtre

Théâtre des Variétés

Du 18/9 au 31/12/2015 puis en tournée du 9/10 au 15/12/2016

Pièce d’Isabelle MERGAULT
Avec Isabelle MERGAULT et Pierre DENY
Mise en scène de Christophe DUTHURON

Décors : Bernard Fau
Lumières : Jacques Rouveyrollis assisté de Jessica Duclos
Costumes : Cécile Magnan
Musique : Yannick Hugnet

Synopsis : Sylvie joue Victoire Carlota, ancienne star de cinéma aujourd’hui ruinée, qui décide de faire écrire ses mémoires. Elle croit rencontrer Marcel, mais son éditeur lui envoie Marcelle (Isabelle Mergault), auteure d’un livre de cuisine à succès… sur le riz. A travers un voyage en Italie où elle a tourné ses plus grands succès, Victoire essaie de se rappeler, accompagnée de Marcelle qui bouscule les habitudes de la star. Au gré des rencontres, une complicité se crée entre les deux femmes, entre Rome et la campagne italienne… Victoire se souviendra-t-elle ? Montrera-t-elle son vrai visage à quelqu’un ?


Théâtre de Marigny

Du 8 mars au 2 avril 2011, Sylvie a fait ses débuts sur les planches au théâtre Marigny, aux côtés de Mathilde Seigner, Tonie Marshall, Chloé Lambert et Marie Denarnaud, dans une pièce féministe “L’amour, la mort, les fringues” écrite par les soeurs Ephron, scénaristes du film “Quand Harry rencontre Sally” et adaptée par Danièle Thompson
Cette pièce évoque sur le registre humoristique, les états d’âmes de femmes à travers leurs addictions à la mode
“Les vêtements nous collent à la peau et à l’âme. Nous croyons les acheter c’est eux qui nous possèdent. Ces chiffons sont des traîtres : loin de nous habiller, ils mettent à nu nos complexes et nos humeurs”, soulignent les auteurs
Selon le principe des “Monologues du Vagin”, succès théâtral international depuis plusieurs années, “L’amour, la mort, les fringues” mobilise encore à Paris plusieurs distributions successives, comme à Broadway et Sydney où la pièce est aussi jouée en continu

Pour la télévision, Sylvie a joué des extraits de pièces de théâtre avec : Paul Meurisse (Top du 9/12/1972), Jean-Claude Brialy (Top du 6/5/1972) ou encore Pierre Palmade (Qu’est-ce qui fait rêver Sylvie ?).

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