De l’ombre à la lumière

Nouvelle interview de Sylvie lors de son passage à Paris le lundi 10 novembre 2003, dans le bar d’un grand hôtel parisien.

L’interview s’est déroulée à une table voisine de celle de Jacques Dutronc et William Leymergie qui ont tous deux salué Sylvie très chaleureusement.
Commentaire du garçon de café ébahi : “il y a tout le gratin aujourd’hui !”.

Merci de m’accorder un peu de temps dans votre planning surchargé…Vous m’aviez gentiment reçu il y a deux ans et demi. L’interview était faite de questions de tous les internautes et a eu beaucoup de succès auprès d’eux. Entre temps, j’ai eu la chance d’interviewer Hubert Le Forestier… Je l’ai senti très nostalgique de l’époque où il a travaillé avec vous.

Oui je sais, il m’en a parlé et j’ai lu votre entretien. Il a vous a apporté un point de vue sur nos années de collaboration qui, à mon sens, est venu compléter à bon escient notre première interview. Savez-vous que pour son travail, il est actuellement en poste en Bulgarie, à Sofia même ? Quand je dis qu’il n’y a pas de hasard !

Vous m’aviez gentiment promis qu’on se reverrait quand l’actualité le justifierait. Je crois que c’est le cas aujourd’hui…

Absolument !

Nous savons qu’il y a beaucoup de projets dans l’air. Lequel vous occupe le plus actuellement ?

Ça dépend du moment. Avec moi c’est ou tout ou rien. Et là c’est tout ! (rires) Pour l’instant, ma préoccupation première est de rassembler tout le matériel pour mon prochain CD que je dois enregistrer en janvier. C’est demain !

Il n’y a pas encore eu de séances d’enregistrement ?

Non j’ai seulement travaillé quelques bases, j’ai posé quelques voix sur des démos mais il n’y a pas eu vraiment d’enregistrements.
L’autre priorité consiste à terminer ma biographie qui doit également sortir en avril. C’est un travail très long que je dois finir en décembre, dernier délai.

On a effectivement pu lire que ce livre sortirait aux éditions XO… Est-ce que ce sera dans l’esprit de votre livre de souvenirs “Si je chante” que vous aviez publié il y a quelques années ?

Ah non pas du tout. Ce sera beaucoup plus écrit. Il n’y aura pratiquement pas de photos sauf un petit carnet central, j’imagine.

Ce n’est pas un exercice qui vous est trop difficile ? On sait que vous n’aimez pas vous livrer…

Oui mais c’est important quand on a eu un passé dense comme le mien, qu’il reste un témoignage pour mes enfants. Nous sommes des nomades et c’est fondamental de laisser quelque chose de véritable à mes enfants et aussi à ceux que j’aime… et à ceux qui m’aiment également, bien entendu.

Finalement, on vous pensait en vacances mais vous n’arrêtez jamais ?

Je ne prends jamais de vacances ! Je n’en ai pas pris depuis mon voyage de noces en 84. Ne riez pas c’est vrai. Non je mens un peu, je suis allée aux Caraïbes récemment et j’ai emmené “mes filles” aux sports d’hiver.

Quelle va être la couleur de cet album ? La presse a parlé d’un album Dance…

Il y aura des chansons rythmées, d’autres plus lentes mais toujours avec un tempo soutenu, c’est-à-dire un back-ground assez fort et percutant. Il n’y aura vraiment que deux ballades à proprement parler. Les autres seront traitées à la Phil Spector.

Rien à voir avec “Toutes les femmes ont un secret” donc ?

Non. J’espère ! J’ai voulu changer et renouer avec un style qui se rapprocherait plus de ce que j’ai pu chanter dans les années 60 où il y avait beaucoup de chansons à rythme et up tempo. C’est vrai que c’est plus difficile d’en trouver aujourd’hui mais j’ai eu cette chance.

C’est la mode des duos en ce moment. Il y en aura ?

Non, pas que je sache pour l’instant. Pourtant j’aime beaucoup chanter en duo. Et puis il y a eu le Long Box qui comportait de magnifiques duos dont je suis très fière.

Philippe Delettrez en sera-t-il de nouveau l’arrangeur ? Beaucoup de noms ont été évoqués ces derniers temps…

Philippe reste mon ami, mon conseiller. Il a arrangé pour moi tous mes albums depuis dix ans et j’avais envie d’un nouveau regard.
Cette fois, mon arrangeur sera Paul Manners, un anglais qui habite en Italie. Il a produit le disque de Kelly Joyce.

Avez-vous une idée des autres collaborations ?

Il y aura sûrement une chanson qui a été écrite par Christine Lidon qui a chanté de très jolies chansons un peu Bossa Nova. Elle a un Mood très particulier qui m’est très agréable. Sinon, j’ai choisi deux musiques de David sur des textes d’Eric Chemouny pour l’une (elle s’intitule “Au rythme du coeur”), et de Didier Barbelivien pour l’autre : “Des gens qui nous ressemblent”. Il y aura une très jolie chanson de Michel Mallory “On s’est tant aimés” et des chansons originales composées par un groupe suédois car j’aime beaucoup ce que faisait ABBA et c’en est inspiré et aussi par Paul Manners lui-même. C’est le Palais des Congrès qui a dicté ces choix, comme toujours quand je prépare un album en pensant à la scène.
J’ai aussi une chanson absolument magnifique “Rupture”, qui a été écrite par Frédéric Botton (NDLR : l’auteur de “Les idoles des années 30”, qui a aussi collaboré avec Barbara). C’est un texte très fort, comme on en trouve peu, à mi-chemin entre “Aimer” et “C’est fatal”…

Le futur single peut-être ?

Non, je ne sais pas si elle s’y prête.

Vous n’avez jamais été tentée de faire des remixes de vos succès ?

Oh, le problème a été de mettre la main sur des bandes originales multipistes, afin de pouvoir isoler la voix. Or chez BMG on a retrouvé en majorité des enregistrements à seulement deux pistes… Sinon, c’est rigolo à tenter mais sans plus.

Côté BMG, où en est-on de l’intégrale Live ?

Camilio Daccache et Philippe Delettrez justement, y travaillent d’arrache pied. Ça devrait sortir à la rentrée 2004.

Peut-on espérer des titres inédits ?

Oh oui, sans doute mais on en reparlera le moment venu. Laissez-moi vous réserver la surprise !

Y aura-t-il des concerts inédits ?

Nous avions pensé, dans un premier temps, faire figurer mon Musicorama à l’Olympia 68 dont RCA/BMG a retrouvé des bandes. Il s’agit d’un spectacle très amusant pour moi, enregistré dans une ambiance de folie, et qui marquait aussi mon tournant vers le Music-Hall et le spectacle total, dont le premier aboutissement a été l’Olympia 70. Malheureusement, l’enregistrement n’est pas assez bon. C’était pris directement sur la sono et donc impossible à mixer en vue d’une utilisation commerciale. Les Musicoramas sont de bons témoignages-souvenirs mais c’est trop souvent un brouhaha inaudible que je suis contrainte de garder pour moi seule ! Mon intégrale Live commencera donc par l’Olympia 70.

Peut-on aussi espérer une réédition en DVD parallèlement ? On recherche sans cesse vos concerts dans les annonces du site…

Moi aussi je la souhaite. Il faudrait que je les harcèle !

Que pensez-vous du livre “Une fille de l’Est” qui est sorti récemment ?

C’est comme un dictionnaire, un abécédaire, ce qui est une démarche plutôt originale pour traiter le sujet. Les auteurs sont charmants et passionnés. Je pense qu’ils ont fait un bouquin réussi.

Vous êtes-vous un peu impliquée dans l’élaboration de ce livre ?

Je l’ai relu pour voir s’il n’y avait pas d’inexactitudes et ce n’était pratiquement pas le cas.
Vous savez, si je peux dater très précisément ma vie privée, je suis toujours moins sûre de moi pour ma vie d’artiste qui est un tourbillon de concerts, de chansons et de tournages, certes agréable mais flou ! J’ai aussi choisi les photos du carnet central en même temps que celles de l’intégrale Live….

Et qu’avez-vous pensé de la couverture ?

Elle ne me plaît pas tellement. Je déteste le violet et ce n’est pas très ressemblant. Mais on ne m’a pas demandé mon avis.

Vous ne craignez pas que cela concurrence un peu votre autobiographie ?

Non ça n’a rien à voir et on ne peut pas empêcher des livres de paraître sur vous de toutes façons. Celui-ci est intéressant, il faudra que je le relise plus attentivement pour me remémorer toutes mes tournées et leurs anecdotes. Ou que je passe une journée entière sur votre site (rires).

Et avez-vous lu “Que je t’aime… la vie” de Jean Renard ?

Non. Tout le monde écrit des mémoires apparemment ! (rires).

J’ai été étonné de lire que si vous aviez eu le coup de foudre pour “Par amour par pitié”, vous aviez de prime abord été plus réservée à l’écoute de “La Maritza”.

Ah bon ? Je ne m’en souviens pas spécialement. Ma réaction était peut-être un plus nuancée que ce qu’il en écrit. J’ai dû hésiter parce que ça me touchait d’un peu trop près. C’était la première fois que je livrais ma vie dans une chanson. Comme pour “Darina” avant que je ne la lise. Mais “Darina” m’a touchée dès que je l’ai lue.

On se réjouit de vous revoir sur la scène du Palais des Congrès.

Ah mais moi aussi !

Pourquoi pas le Palais des Sports ?

Tout simplement parce qu’il était pris. Et j’aime bien le Palais des Congrès, j’y ai de bons souvenirs. D’ailleurs, la dernière fois que j’y suis retournée pour poser pour l’album qu’ils vont sortir sur les trente ans de cette salle, j’ai eu l’impression de ne l’avoir jamais quittée. Elle a pourtant changé mais en beaucoup mieux. D’abord tous les sièges sont rouges et non plus beiges et les murs sont noirs. Ça ressemble plus à une salle de spectacle maintenant. Mais la scène n’a pas changé. Je suis vraiment très heureuse d’y retourner.

Les locations ont commencé très fort m’a-t-on dit à la billetterie. Je suis en contact permanent avec eux, ils ont eu 500 réservations en une journée grâce au site !

Ah oui ? Je devrais vous prendre comme manager (rires).
J’en suis très contente.

J’imagine que votre prochain spectacle sera très coloré.

Je ne sais pas trop. Evidemment la scène même appelle un spectacle adapté à l’immensité de cet endroit.

Vous aviez parlé de remonter vos plus beaux ballets.

Je ne sais pas encore. C’est un grand mystère pour l’instant.

Même pas dans le cadre d’un medley comme vous l’aviez fait avec les chansons du siècle ?

Oui mais c’est difficile, ce sont des chorégraphes différents, il faut des changements de costumes… J’ai toujours cette envie mais c’est tout ou rien ! Je n’ai pas vraiment commencé à travailler sur le projet, la priorité étant mon album. Et comme il me fournit un nouveau matériel, j’aurai peut-être envie de l’explorer sur scène…

Qui sera le chorégraphe ?

Walter Painter. C’est quelqu’un qui a une grande culture musicale, qui a une formation classique, qui a souvent travaillé avec moi, et qui a de bonnes idées. Walter est toujours contemporain et en activité, à regarder sans cesse ce qui se passe, ce qui se fait.

Combien y aura-t-il de danseurs ?

8 !

La surprise vient du choix du producteur puisqu’il s’agit de Jean-Luc Azoulay.

Oui la boucle est bouclée ! La prochaine fois, ce sera Stéphane Caron mais il ne le sait pas encore (rires). J’ai encore quelques possibilités de rechange comme ça : il restera ensuite Camilio Daccache puis Didier Terron (elle rit encore)…

Pourquoi n’est-ce plus Gilbert Coullier ?

Car c’est Jean-Luc Azoulay (silence). Universal coproduira aussi le spectacle. Il y aura donc Pascal Nègre et Jean-Luc Azoulay.

Comment ça s’est trouvé ?

Victor Bosch, le producteur du spectacle “Le Petit Prince” avait été pressenti. J’avais eu un très bon contact avec lui. J’avais beaucoup aimé la mise en scène du Petit Prince que je trouvais joliment monté, avec beaucoup de goût. Mais il y a eu des problèmes liés aux droits de ce spectacle et il n’a pas pu assurer la continuité de nos engagements.
Heureusement ça s’est passé relativement en amont et pas au dernier moment. C’est alors que Dominique Besnehard a pensé à Jean-Luc. C’était une bonne idée car Jean-Luc est quelqu’un de très enthousiaste qui m’aime depuis toujours, et ça c’est très important. C’est quelqu’un que j’apprécie et je suis très fière de sa réussite. C’est formidable de revenir en arrière. On s’est dit qu’on avait rajeuni de 30 ans ! (rires)

Ce spectacle, vous allez devoir en assurer la promotion…

Oh la la oui ! (rires)

L’affiche est-elle prête ?

Non, on va la faire au mois de décembre à New-York.
A ce propos, je dois vous dire que j’avais très envie d’utiliser l’actuelle page d’accueil de votre site. J’admire beaucoup le travail de votre graphiste Jean-Jacques, qui fait preuve de beaucoup de créativité et de talent. Il trouve chaque mois une idée différente et cette fois, il s’est vraiment surpassé ! C’est à mon goût, le plus beau visuel qu’il ait réalisé. Mais comme il s’est inspiré d’une oeuvre de Pascalini (pseudonyme de mon ami le cinéaste Charles Matton), j’ai pris mes renseignements et nous aurions certainement rencontré, une fois encore, des problèmes de droits insolubles.


Vous me disiez lors de notre première interview que vous n’aimiez pas faire des photos, des interviews, que vous vous contenteriez volontiers d’une conférence de presse…

Oh je devais être un peu remontée (rires). Là je suis plus reposée et j’ai un autre point de vue. Oui je vais commencer à faire ça au mois de décembre.

Avez-vous des projets de spéciales à la télévision ?

Il y aura certainement un portrait sur France 3, sur le modèle de ce que j’ai vu sur Julien Clerc récemment.

Vous aviez vu la soirée spéciale sur Canal Jimmy animée par Camilio Daccache ?

Avec Danielle Gilbert ? Oui (elle rit). Je plaisante mais ce fut une grande joie de revoir “Dancing Star” qui est sans conteste la plus aboutie de toutes les comédies musicales qu’ont pu produire pour moi les Carpentier.

Comment réagit Darina quand elle voit ce genre de documents ?

Comme je suis en train de les revisionner pour éclairer ma mémoire, il lui arrive de passer dans la pièce et ça l’amuse, surtout quand elle me voit déguisée en petite fille modèle, en pâtissier ou en cigale…

Qui fera les costumes du Palais des Congrès ?

J’ai une idée de la personne avec qui je vais travailler mais comme il s’agit de quelqu’un de très occupé je ne peux pas encore dire son nom tant que je n’ai pas son accord définitif. J’aimerais vraiment que ça aboutisse car c’est quelqu’un qui a beaucoup de talent.

En parlant de costumes, on sait aussi que vous allez faire une exposition sur vos robes au Musée Galliera… Avez-vous vu l’expo Dietrich ?

Oui. Les robes n’étaient pas assez mises en valeur mais ça n’est pas de la faute du Musée car c’est une exposition itinérante et ils les ont reçues telles quelles de Berlin.
J’ai trouvé aussi qu’il n’y avait pas assez de lumière mais cela pose des problèmes de conservation… Je suis en contact avec deux personnes formidables et très enthousiastes qui s’occupent de tout… Il y a pour l’instant 120 costumes, ce qui est énorme, si bien qu’il va falloir faire une sélection. Je les ai gardés intacts, pas sous des housses mais dans des boîtes à plat.

Quel est le premier nom qui vous vient à l’esprit parmi les couturiers avec lesquels vous avez collaboré ?

Sans hésiter, Yves Saint-Laurent ! Pour le savoir-faire et ça correspondait aussi à une certaine époque.
Au fil des années, on a vu de merveilleux artisans disparaître. L’exposition sera aussi une façon de leur rendre hommage.
Il y en a toujours – les ateliers Lesage par exemple – mais c’était plus courant à l’époque. Les robes perlées de Saint-Laurent représentaient un énorme travail. A cause de mes chorégraphies, je perdais des perles par cascades (rires).

Et comment avez-vous eu l’idée de travailler avec Bob Mackie (sa robe Gardénia est ma préférée) ?

Ça s’est fait naturellement quand j’étais aux Etats-Unis, par l’intermédiaire de Walter Painter je crois…. Ils avaient le même agent.

On a parlé d’un projet de film intitulé “L’étreinte”…

Vous êtes bien renseigné car c’était censé rester secret ! (rires) Il y avait des remaniements à faire – Dominique Besnehard trouvait le texte trop conventionnel – et on a un peu mis le projet en stand-by compte tenu de mon agenda… Le projet n’est pas abandonné mais le cinéma prend toujours beaucoup de temps.

Quel bilan tirez-vous des 12 années de fonctionnement de votre association pour la Bulgarie ?

L’association progresse chaque année. Nous sommes arrivés à de bons résultats eu égard au nombre d’adhérents qui sont toujours très fidèles et motivés.
Cela montre que les élans de solidarité parviennent à réaliser certaines choses. Ne serait-ce que sauver une seule vie, c’est une victoire. Alors on continue avec le même enthousiasme et les progrès sont très encourageants.
J’entreprends aussi des démarches aux Etats-Unis où les gens sont également très motivés quand on leur expose les problèmes liés à l’enfance défavorisée.
Je sais que sur votre forum, certains déplorent que l’association reste petite mais d’une part je veux tout contrôler – ce qui serait impossible si on était des milliers – et d’autre part les adhérents et les membres du bureau sont des bénévoles. Ils ont tous un autre métier et peu de temps libre à consacrer à l’association. Une grosse association nécessite aussi un plus gros budget de fonctionnement, or je veux que l’argent profite uniquement à la Bulgarie.
Au moment de l’exposition de mes robes de scène, je ferai certainement une vente aux enchères de quelques-uns des costumes, dont les bénéfices iront directement à l’association.

Merci beaucoup pour ce petit tour d’horizon de votre actualité.

Merci à vous Laurent. Je vous avais proposé il y a deux ans que votre site soit déclaré “site officiel” mais, par modestie je suppose, vous aviez décliné mon offre. Je vous suggère de le faire maintenant puisque, dans mon esprit, c’est une chose acquise depuis longtemps. Tout d’abord vous bénéficiez de l’antériorité et le site est si complet ! Il aborde tous les aspects de ma carrière, et donc de ma vie publique, avec beaucoup de tact et d’exactitude.

Ceci d’autant plus que depuis quelques années, mon ami Stéphane vérifie à ma demande et valide toutes les informations, avec la minutie que je lui connais (rires). J’ai aussi un très bon contact avec vous et je mesure tout à fait la quantité de travail que vous effectuez… depuis 8 ans je crois ? Vous voilà donc “webmaster de mon site officiel “, je vous le dis… tout net ! (rires).

Je tiens quand-même à préciser que les personnes qui ont construit d’autres sites spécialisés sur la presse ou sur ma carrière scénique, ne doivent pas en prendre ombrage. Chacun a sa spécificité et sa place à vos côtés bien évidemment !
Mais le site officiel doit à mon sens rester la référence, ne laissant place à aucun doute pour pouvoir être consulté en toute confiance par quiconque, que ce soit par intérêt personnel ou à des fins professionnelles.
Merci encore.

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