
NON JE NE SUIS PLUS LA MÊME
J’ai dans le cœur depuis toujours
Une vraie chanson d’amour
Que je n’ai jamais chantée
Et j’attends que tu te souviennes
Que ma vie est un domaine
Que tu n’as pas exploré
Je n’étais qu’une enfant que tu berçais
Qu’une enfant qui t’écoutait
Qu’une enfant qui t’aimait
Non je ne suis plus la même
Pourtant tu vois, je suis restée comme ça
Non, je ne suis plus la même
Oui mais pour toi, moi je suis toujours là
Non je ne suis plus la même
Le temps qui passe nous fait parfois douter
Et je peux te dire que je t’aime
Quoique tu fasses n’y peut rien changer
Prends le temps de vivre ma vie
Depuis le creux de mon lit
Jusqu’aux larmes qu’on oublie
Viens supprimons les artifices
Viens regarder dormir ton fils
Viens te charger de sa vie
Et demain, si nous vieillissons ensemble
Tu seras fier qu’il te ressemble
Et c’est pourquoi, je te crie
Non je ne suis plus la même
Pourtant tu vois, je suis restée comme ça
Non, je ne suis plus la même
Oui mais pour toi, moi je suis toujours là
Non je ne suis plus la même
Le temps qui passe nous fait parfois douter
Et je peux te dire que je t’aime
Quoique tu fasses n’y peut rien changer

VA SI TU L’AIMES
J.P. Lang / G. Mardel
Ne parlons pas de chagrin
Quand tout ici va me parler de toi
Donne-moi plutôt la main
Embrasse-moi une dernière fois
Va, si tu l’aimes, n’hésite pas
Qu’ici plus rien ne te retienne
Va, si tu l’aimes, n’hésite pas
À chacun sa joie ou sa peine
Écris-moi de temps en temps
Surtout ne me laisse pas sans nouvelles
Moi, je penserai toujours à toi
À chaque odeur de citronnelle
Va, si tu l’aimes, n’hésite pas
Qu’ici plus rien ne te retienne
Va, si tu l’aimes, n’hésite pas
À chacun sa joie ou sa peine
L’amour laisse dans les livres
En souvenir quelques brins de muguet
Mais à quoi bon les regrets
On ne vit pas avec des fleurs fanées
Va, si tu l’aimes, n’hésite pas
Qu’ici plus rien ne te retienne
Va, si tu l’aimes, n’hésite pas
À chacun sa joie ou sa peine
Va, si tu l’aimes, n’hésite pas
Qu’ici plus rien ne te retienne
Va, si tu l’aimes…
L’HOMME QUE TU SERAS
Michel Mallory / Y. Allegret / J. Curtelin / E. Vartan – du feuilleton TV « Graine d’ortie »
Petit, l’espoir ressemble à une fleur
Qui brille dans le cœur
Tous les hommes ont besoin de ça
Mais c’est la vie qui fera : l’homme que demain tu seras
Petit, les chemins de la liberté
Te feront mal aux pieds
Va aussi loin que tu pourras
Alors tu découvriras : l’homme que demain tu seras
Le soleil, derrière la colline, se montrera un jour
Pour sécher tous tes pleurs d’enfant
Petit, on n’est jamais vraiment tout seul
Chacun a son étoile
La chance quand elle tournera, touchera du bout des doigts : l’homme que demain tu seras
Le soleil, derrière la colline, se montrera un jour
Pour sécher tous tes pleurs d’enfant
Petit, l’espoir ressemble à une fleur
Qui brille dans le cœur
Tous les hommes ont besoin de ça
Mais c’est la vie qui fera : l’homme que demain tu deviendras, quand le temps sera là
NE M’ATTENDS PAS
(D’après le thème musical du feuilleton TV « Graine d’ortie » – Michel Mallory / Y. Allegret / J. Curtelin / E. Vartan)
Ne m’attends pas
Tu marches trop vite pour moi
Ne m’attends pas
Tu cours trop vite pour moi
Tu n’as jamais levé les yeux
Pour voir si le ciel était toujours bleu
Toujours bleu
Tu perds un temps fou à courir
Derrière le temps et tes souvenirs
Souvenirs
Ne m’attends pas
Tu vas trop vite pour moi
Non ne m’attends pas
Tu vis trop vite pour moi
Tu n’as jamais posé ta main
Sur l’herbe fraîche ou sur la tête d’un chien
De ton chien
Tu n’as jamais su écouter
Toutes les chansons que le vent chantait
À l’été
Ne m’attends pas
Tu marches trop vite pour moi
Ne m’attends pas
Tu cours trop vite pour moi
Ne m’attends pas
Tu cours trop vite pour moi
LA VIE C’EST DU CINÉMA
Yared / Michel Mallory / Costa
Tu tournes en Cinérama
Tu joues en Cinérama
Dans ma vie
Tu tiens très bien tes rôles
Tu sais être très drôle
Triste aussi
Comédie quotidienne
Acteur metteur en scène
Tu fais le film de ma vie
La vie, c’est du cinéma
Chacun écrit son scénario
L’histoire tourne autour de toi
Tu es toujours le héros
Je parle et je sous-titre
Je joue et puis je triche
Tous les jours
Quand j’invente l’histoire
Je fais semblant de croire
À l’amour
On ment avec franchise
On masque et on déguise
Nos voix et puis nos intentions
La vie, c’est du cinéma
Chacun écrit son scénario
L’histoire tourne autour de toi
Tu es toujours le héros
La vie, c’est du cinéma
L’amour est dans le scénario
L’histoire tourne autour de toi
Tu es toujours le héros
MELODY MAN
(Michel Mallory)
Eh Melody Man !
Tu as dans ta guitare
Eh Melody Man !
Des milliers de chansons
Eh Melody Man !
Elles ont toutes une histoire
Eh Melody Man !
Et elles portent ton nom
Tes doigts sur le piano
Savent trouver les mots
Inventer les musiques
Musicien magicien
Tu fais chanter nos cœurs
Tu fais battre nos mains
Eh Melody Man !
Tu fais chanter le monde
Eh Melody Man !
On a besoin de toi
Tu sais que les chansons
Ça n’a pas d’horizon
Ça n’a pas de frontières
Tu leur donnes la vie
Et dès qu’elles sont finies
Elles sont déjà parties
Eh Melody Man !
Trouve sur ta guitare
Eh Melody Man !
Pour moi une chanson
Eh Melody Man !
Qui chante notre histoire
Eh Melody Man !
Et donne-lui mon nom
Eh Melody Man !
Joue-moi sur ta guitare
Eh Melody Man !
La plus belle chanson
Eh Melody Man !
Et chante notre histoire
Eh Melody Man !
Et donne-lui mon nom
Eh Melody Man !
Joue-moi sur ta guitare
Eh Melody Man !
La plus belle chanson
J’AI UN PROBLÈME
Jean Renard / Michel Mallory
D’après Jean Renard, la musique a été enregistrée à Londres avec la collaboration de Gabriel Yared. Les voix de Sylvie et Johnny auraient été ajoutées ultérieurement (le lendemain de leur retour de Londres après que M. Mallory ait écrit les paroles), à Paris (Montreuil, Studio Davout).
« J’ai un problème » a été reprise par Stone & Charden.
Dis-moi pourquoi, tu es mon seul problème
Dis-moi pourquoi, tu es mon seul souci
On récolte la vie que l’on sème
Et quand vient l’amour, on est un peu surpris
À cause de toi, je ne suis plus la même
Moi par ta faute, j’ai changé aussi
Je ne sais pas où ça nous entraîne
C’est la chance ou bien c’est de la folie
Si tu n’es pas vraiment l’amour, tu y ressembles
Quand je m’éloigne, toi tu te rapproches un peu
Si ce n’est pas vraiment l’amour de vivre ensemble
Ça y ressemble tant que c’est peut-être mieux
J’ai un problème, je sens bien que je t’aime
J’ai un problème, c’est que je t’aime aussi
Ces mots-là restent toujours les mêmes
C’est nous qui changeons, le jour où on les dit
J’ai un problème, j’ai bien peur que je t’aime
J’ai un problème, j’en ai bien peur aussi
En perdant on y gagne quand même
Et puis après tout, on n’a pas choisi
(Refrain)
TE TUER D’AMOUR
Ploquin / Michel Mallory
A genoux comme en prière
Déshabillée de dignité
Aujourd’hui voilà je t’aime
Je t’aime, tu as gagné
Quand mes yeux deviennent tendres
Et qu’ils te montrent les chemins
J’ai besoin d’avoir ton ventre
Sous mon corps et sous mes mains
Je veux te tuer d’amour
Et puis mourir à mon tour
Autant de fois que tu voudras
Je veux te tuer de joie
Pour mieux t’enchaîner à moi
Je suis le fauve et toi ma proie
Aller le plus loin possible
Et au plus profond de mon corps
Pour me fondre sur cette rive
Comme l’oiseau blanc au vent du nord
Les sentir contre mes lèvres
Ton cœur battre sous ta peau nue
Quand les mots donnent la fièvre
Et que le monde n’existe plus
TOI LE GARÇON
Delta Dawn / Harvey / Collins / Michel Mallory
Toi le garçon
Si tu entends ta chanson
Que tu m’as laissée au cœur comme un espoir
Aussi loin que tu sois
Si tu m’entends, reviens vers moi
Pour vivre notre amour en liberté
Je n’ai jamais bien su d’où il venait
Où il allait et puis ce qu’il cherchait
On s’est croisés en allant vers le nord
C’est drôle mais aujourd’hui je l’aime encore
Ses longs cheveux caressaient sa guitare
Elle chante encore au fond de ma mémoire
Je sais ce que coûte ma liberté
Non, je n’aurais jamais dû le quitter
Toi le garçon
Si tu entends ta chanson
Que tu m’as laissée au cœur comme un espoir
Aussi loin que tu sois
Si tu m’entends, reviens vers moi
Pour vivre notre amour en liberté
Où va-t-il user sa vie aujourd’hui
J’ai perdu bien trop de temps si loin de lui
Je ne sais même pas son nom
Il ne me reste que sa chanson
Oui ma liberté, c’était ce garçon
(Refrain)

L’AMOUR AU DIAPASON
Jean Renard / Michel Mallory
Tu es tout à fait à l’opposé
Du prince charmant dont je rêvais
Moi je ne ressemble pas du tout
Au genre de filles qui te rendaient fou
Oui moi quand j’ai trop chaud
Toi tu as trop froid
Et puis quand je dis oui, toi tu dis non à chaque fois
Toi tu dors le jour et la nuit tu sors
Je suis désolée mais moi c’est la nuit que je dors
Et quand je crois en tout
Tu ne crois en rien
On est chacun d’un côté sur le même chemin
Il vaudrait mieux accorder nos violons
Chanter la même chanson
Et nous mettre au diapason
Tes cheveux sont blonds comme les blés
Tes yeux aussi bleus qu’un ciel d’été
Moi qui rêvais d’un brun aux yeux noirs
Je crois que je me suis faite avoir
Moi j’aime la montagne
Tu adores la mer
Moi j’aime la campagne, toi c’est Paris que tu préfères
J’aime le moderne
Toi le style ancien
Moi j’ai peur de tout, toi tu n’as jamais peur de rien
Et quand je rentre tôt
Toi tu rentres tard
On se croise parfois entre deux portes par hasard
Il vaudrait mieux accorder nos violons
Chanter la même chanson
Et nous mettre au diapason
Mais il y a l’amour
Qui revient toujours
Pour peindre de bleu la toile de fond de nos jours
Il arrange tout
Il efface tout
Et fait de nous des enfants et nous rend un peu fous
On signe la paix
On ne dit plus rien
On est du même côté sur le même chemin
Plus besoin d’accorder nos violons
Et c’est la même chanson
L’amour est au diapason
GO BACK HOME
Twenty dollars in my pocket
Don’t know where to go
Been on the road since I was sixteen
Now twenty-five
I’ve been more places
Done more things than most folks do by
Seeing the world
And now all I wanna do is go back home
There’s been times when I’ve been rich
Times when I’ve been poor
I’ve had my share of the good and the bad
And now when I think of all the time that I’ve spent walking lonely
It makes me sad
And now all I wanna do is go back home
I can smell the fried chicken
In the pan in the kitchen
And the fragrance of the flowers in the garden
When I think how long ago I left all that behind
Only now when I look back I think I must have been blind
I can smell the fried chicken
In the pan in the kitchen
And the fragrance of the flowers in the garden
When I think how long ago I left all that behind
Only now that I look back I think I must have been blind
Twenty dollars in my pocket
Don’t know where to go
Been on the road since I was sixteen
Now twenty-five
I’ve been more places
Done more things than most folks do by
Seeing the world
And now all I wanna do is go back home
Go back home…
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C’EST UN JOUR DE JOIE (TV 1973)
avec Jean-Jacques Debout
(JJD) :
C’est un jour de joie quand tu es près de moi
C’est un jour de joie quand dehors il fait froid
Nous restons au lit toute l’après-midi
Et l’on regarde tomber la pluie
(Sylvie) :
C’est un jour de joie quand le beau temps revient
C’est un jour de joie quand je te tiens la main
Dans les avenues de la ville
Nous allons le cœur tranquille
En rêvant chacun au lendemain
(JJD) :
C’est un jour de joie quand j’achète des fleurs
Même si tu n’es pas vraiment toujours à l’heure
J’ai pour toi des petits battements de cœur
Qui font que tu es tout mon bonheur
(Ensemble) :
C’est un jour de joie que de se retrouver
Là-haut sous les toits de ce bon vieux quartier
Pour nous endormir ensemble
Bien cachés dans cette chambre
C’est bon de rêver si près de toi
(JJD) :
C’est un jour de joie qui a changé ma vie
Quand tu m’as donné cet enfant si joli
C’est un jour de joie comme il n’y en a pas
Lorsque de très loin j’entends ta voix
(Ensemble) :
C’est un jour de joie qui monte vers le ciel
Devant la nature qui nous donne des ailes
(JJD) :
C’est un jour de joie, de fête
Qui tourne là, dans ma tête
C’est un jour de joie quand tu es là
C’est un jour de joie, de fête
Qui tourne là, dans ma tête
(Ensemble) :
C’est un jour de joie pour toi et moi
CHOUPETTE
C’est moi l’habilleuse de la petite Sylvie
Je la suis partout dans tous ses voyages
Et en l’habillant je lui raconte ma vie
Car il faut vous dire que moi à son âge
On m’appelait Choupette, Choupette, Choupette
C’était moi la vedette, vedette, vedette
Des revues, des grands casinos, de Palavas à Concarneau
J’avais de beaux costumes en paillettes et en plumes
Qui coupaient le souffle au public
Par leur éclat et par leur chic
J’étais petite et frêle
Plus mignonne que belle
Mais j’avais beaucoup, paraît-il
De ce qu’on appelait de sex-appeal
J’avais de la prestance, prestance, prestance
Dans la plupart des danses, des danses, des danses
Mais où je décrochais le pompon
C’était vraiment dans le charleston
Elle est bien gentille la petite Sylvie
Elle a de belles jambes et elle est sérieuse
Quand je lui cause de moi, ça lui fait envie
Du temps où j’étais pas encore habilleuse
Quand on m’appelait Choupette, Choupette, Choupette
Et que j’étais vedette, vedette, vedette
Des revues, des grands casinos, de Palavas à Concarneau
Lorsque j’entrais en scène
C’était vraiment bien moi la reine
Et les messieurs pour mon clin d’œil
Se cramponnaient à leur fauteuil
J’ai reçu des hommages
Des offres de mariage
Mais j’ai toujours tout sacrifié
Pour ne pas quitter ce métier
Et jamais je n’regrette, regrette, regrette
D’habiller les vedettes, vedettes, vedettes
Car moi derrière le rideau
Je reste encore, encore Choupette des casinos
LE PROFESSEUR (TV 1973)
Les cahiers sont finis
Mes enfants c’est la dernière fois
Que l’on est réunis
Dans cette classe encore une fois
Les cahiers sont fermés
Mais moi je ne vous oublierai pas
Quand s’ouvrira la porte des vacances
Enfants :
Au revoir, mademoiselle
Puisque l’on s’en va
Nous non plus, mademoiselle
On n’vous oubliera pas
Les cahiers sont finis
Messieurs Trochu, Duchêne et Martin
Je vous ai bien punis
Mais comme au fond je vous aime bien
Pour la prochaine année
Faites attention, car peut-être bien
Qu’on punira plus que moi, quand j’y pense
Enfants :
Au revoir, mademoiselle
Puisque l’on s’en va
Nous non plus, mademoiselle
On n’vous oubliera pas
Emportez vos cahiers
Rentrez chez vous, l’école est finie
Les livres sont fermés
Nous avons bien travaillé et puis
On s’est bien amusés
Quand Durantin faisait de l’esprit
Au lieu d’apprendre son histoire de France
Enfants :
Au revoir, mademoiselle
Puisque l’on s’en va
Nous non plus, mademoiselle
On n’vous oubliera pas
Les cahiers sont finis
Et il ne me reste plus qu’un instant
Pour vous dire merci
Car nous avons eu de bons moments
Au revoir mes amis
Sans trop de bruit, sortez à présent
Et je vous dis à tous
Bonnes vacances
Enfants :
La la la la la la la
Au revoir, mais pas adieu
Puisque l’on doit se quitter là
Au revoir, mais pas adieu
Car je ne vous oublierai pas
La la la la la la la
VIVRE
(Sylvie)
Je n’ai plus les pieds sur terre
Tu me mets la tête en feu
Tu as l’art et les manières
De faire de moi tout ce que tu veux
Je me sens vivre, si tu m’aimes
Vivre jusqu’au bout de mes doigts
Vivre… et j’explose et mon corps n’est plus à moi
Tu ouvres les portes
Que j’avais fermées
Et tes mains sur ma peau l’emportent
Et mes résolutions s’envolent en fumée
Je me sens libre quand tu m’aimes
Libre jusqu’au bout de la vie
Libre… et je t’aime, je t’aime, t’aime à l’infini
(Johnny)
Je te hais et puis je t’aime
De savoir jouer de moi
Là où s’arrête la haine
L’amour commence et n’en finit pas
Je me sens ivre quand on s’aime
Ivre de soleil et de joie
Ivre… et j’explose, et mon cœur n’est plus à moi
(Sylvie)
Je ne sais plus qu’une chose
C’est que j’ai besoin de toi
(Johnny)
Quand sur moi tes yeux se posent
C’est du soleil qui coule sur moi
Je me sens vivre…
(Sylvie)
…si tu m’aimes, et vivre jusqu’au bout de mes doigts
(Johnny)
Vivre…
(Sylvie)
… et je t’aime
(Ensemble)
Et ma vie n’est plus à moi
(Sylvie)
Et ma vie n’est plus à moi
Et ma vie n’est plus à moi
BYE BYE BABY
En duo avec Johnny Hallyday
Bye bye baby,
Bye bye honey,
Je m’envole,
Je décolle
De ta vie.
Bye bye baby,
Bye bye honey,
Je m’efface
Dans l’espace
Et la nuit.
Plus la peine de m’attendre,
Ne cherche plus à me prendre.
Aujourd’hui je me défile,
Je te file entre les doigts.
Bye bye baby,
Bye bye honey,
J’abandonne,
Je pardonne
Mais je fuis.
Je pars sans laisser de traces,
Qui voudra prendra ma place.
Je ne ferme pas la porte,
Je n’emporte rien que moi.
LE DIXIELAND
avec Sacha Distel et Petula Clark (TV)
Sacha Distel :
Tu me dis qu’c’est lent,
Tu me dis qu’c’est lent,
C’est un disque lent,
Un disque trop lent,
Disque pas dansant.
Sylvie :
Tu n’as rien compris,
C’est du Dixieland,
Et le Dixieland,
J’te dis qu’si,
C’est ’xcellent.
Petula Clark :
Car le Dixieland,
Si tu dis qu’c’est lent,
Pour moi c’est ’xcellent,
Je te dis qu’si.
Ensemble :
Dis qu’si, Dixi, Dixieland,
Le Dixieland c’est dansant.
Sacha Distel :
Si tu m’dis qu’tu veux un peu d’fantaisie,
Si tu m’dis qu’tu sens un peu d’asphyxie,
Pas d’médicaments, tu prends cette musique,
Car c’est un tonique.
Sylvie :
Tu n’as rien compris,
J’te dis qu’si, ça guérit.
Petula Clark :
Car le Dixieland,
Si tu dis qu’c’est lent,
Pour moi c’est ’xcellent,
Je te dis qu’si.
Ensemble :
Dis qu’si, Dixi, Dixieland,
Le Dixieland c’est dansant.
Sacha Distel :
Nos chères grand-mères nées en Virginie
Chantaient à nos mères au Kentucky
Toutes ces chansons de leurs vingt ans.
Sylvie et Petula :
Et aujourd’hui
Chantent le Dixieland,
Dansent le Dixieland,
C’est dans l’vent.
Petula Clark :
Car le Dixieland,
Si tu dis qu’c’est lent,
Pour moi c’est ’xcellent,
Je te dis qu’si.
Ensemble :
Dis qu’si, Dixi, Dixieland,
Le Dixieland c’est dansant.
Encore une fois :
Dis qu’si, Dixi, Dixieland,
Le Dixieland c’est ’xcellent,
J’dis qu’si !
