
C’EST FATAL
Paroles et musique : D. Barbelivien / M. Cretu
C’est fatal, animal,
La guerre entre nous
Mais le premier qui fera du mal
Deviendra presque fou.
C’est fatal, animal,
L’amour entre nous
Mais celui qui voudra l’idéal
Aura faux jusqu’au bout.
C’est fatal…
C’est fatal, animal,
Comme la corde au cou
Mais le premier de nous
Qui en parle retombera à genoux
C’est fatal, animal
D’être encore jaloux
Mais celui qui perdra son étoile
Se souviendra de tout.
Espèce de chien, je t’ai suivi
De mélodrame en mélodie.
Espèce de rien, je t’ai choisi
Au milieu de cent poésies.
C’est fatal, animal,
D’être encore debout
Mais celui qui ouvrira le bal
Souffrira de partout.
C’est fatal, animal,
De s’aimer surtout
Mais le dire serait un vrai scandale
Et le faire un tabou.
C’est fatal…
C’est fatal, c’est fatal
Mais le premier qui fera du mal
Deviendra presque fou.
C’est fatal, animal
Comme la corde au cou
Mais le premier de nous qui en parle
Retombera à genoux.
C’est fatal, animal
L’amour entre nous
Mais celui qui voudra l’idéal
Aura faux jusqu’au bout
C’est fatal
CA VA DE SOI
Georges Terme / Michael Cretu
Parler d’amour ok
D’accord faut voir à qui
Un peu beaucoup toujours
D’accord pourquoi pas ?
Sans oublier à la folie si je sais à qui
Et pas du tout n’en parlons pas
Ce n’est pas pour moi
Quand ça fait na-na…
Pour moi ça va de soi
Pour qui pourquoi na-na…
J’ai le cœur qui bat
Je ne sais pas na-na…
Ce qui me plaît en toi
Ici ou là na-na…
Je suis toute toute à toi
Chanter l’amour les sanglots longs
C’est une idée
45 tours et des violons
Ça me va
On peut sourire on peut
Jouer à se faire pleurer
On peut rire on peut
Danser rien que toi et moi
Quand ça fait na-na…
Pour moi ça va de soi
Pour qui pourquoi na-na…
J’ai le cœur qui bat
Je ne sais pas na-na…
Ce qui me plaît en toi
Ici ou là na-na…
Je suis toute toute à toi
Quand ça fait na-na…
Pour moi ça va de soi
À toi à moi na-na…
Tu ne m’en veux pas
T’es sûr de toi na-na…
Mais pas autant que toi
Je ne joue pas na-na…
Je me fous de tout ça
IL PLEUT SUR LONDON
Barbelivien / Lunghini / Donnez
Il pleut sur London comme il pleuvait autrefois
J’ai ton téléphone pourtant je n’appellerai pas
La voix de Lennon chante encore « Instant Karma »
J’ai le cœur qui déconne
C’est sûrement le temps qui veut ça
Il pleut sur London et les guitares sont rangées
Vieil électrophone au musée des jeans usés
Que Dieu me pardonne de ne pas savoir oublier
Rêve et révolution de nos jours passés
Longtemps après, que reste-t-il de nos révoltés ?
De l’île de Wight, de Carnaby Street, de Woodstock ?
Oh, dis-moi
Longtemps après, que reste-t-il de cette époque ?
Qui a mis un peu de slow dans ton rock ?
Il pleut sur London
Il pleut sur London
Mais rien n’a vraiment changé
C’est à Kensington que je t’avais retrouvé
L’amiral Nelson nous voyait nous embrasser
Drôle de satisfaction
L’amour à l’heure du thé
Longtemps après, que reste-t-il de nos amours ?
Même en anglais forever n’est pas pour toujours
Oh, dis-moi
Longtemps après, que reste-t-il de cette époque ?
Longtemps après, que reste-t-il de cette époque ?
Qui a mis un peu de slow dans ton rock ?
Il pleut sur London
BEAU PHOTOGRAPHE
Didier Barbelivien – Raymond Donnez
Noir et blanc ou en couleurs
En diapo ou en poster
Mes yeux brillants dans ton Canon
Mes jambes nues dans ton Nikon
Flash ma vie beau photographe
D’une photographie qui m’agrafe
Flash mes nuits sans faire de gaffe
L’ennui est un soleil qui tache
Flash ma vie beau photographe
Prends par défi cet autographe
Flash mes nuits sans que tu saches
Qui surprend qui dans cette partie de cache-cache
Flash ma vie, flash mes nuits photographe…
Sur la plage ou dans la ville
L’air sauvage ou l’air fragile
Traque mes larmes dans ton objectif
Tout ce qui charme est primitif
Flash ma vie beau photographe
D’une photographie qui m’agrafe
Flash mes nuits sans faire de gaffe
L’ennui est un soleil qui tache
Flash ma vie beau photographe
Prends par défi cet autographe
Flash mes nuits sans que tu saches
Qui surprend qui dans cette partie de cache-cache
Flash ma vie, flash mes nuits photographe.
Flash ma vie beau photographe
D’une photographie qui m’agrafe
Flash mes nuits sans faire de gaffe
L’ennui est un soleil qui tache
Flash ma vie beau photographe
Prends par défi cet autographe
Flash mes nuits sans que tu saches
Qui surprend qui dans cette partie de cache-cache
Flash ma vie, flash mes nuits photographe.
VIVA
Michel Mallory – Denis Lambert
Il faut que ça choque, que ça provoque
C’est une question d’époque
Il faut que ça passe ou que ça casse
C’est une question d’espace
Évident, pas vraiment
Savoir d’où vient le vent
Voilà le plus important
Pas signé, pas marché
Absolument refusé
D’être piégé, banalisé
La musique est une solution magique
Une autre politique
Des vibrations, des sensations physiques
Une autre dialectique
Une autre voix
Viva
Le temps d’une autre dimension
Des musiques explosion
De la danse qui sait bouger les idées
Viva
Le temps du changement de temps
De couleurs et de mots
Un contact nouveau, une émotion top niveau
Poids des mots, des photos
Des clichés truqués et trafiqués
Médiatiquement stressés
Intoxiqués
Break, stop, pouce, c’est assez
C’est urgent, c’est flagrant
Savoir où va le vent
Voilà le plus important
Sans dormir, sans rien dire
Sans désir et sans délire
La pire façon d’être vivant
La musique est une solution magique
Une autre politique
Des vibrations, des sensations physiques
Une autre dialectique
Une autre voix
Viva
Le temps d’une autre dimension
Des musiques explosion
De la danse qui sait bouger les idées
Viva
Le temps du changement de temps
De couleurs et de mots
Un contact nouveau, une émotion top niveau
Choisis ton camp, choisis ton créneau
Et refuse d’être juste un numéro
T’es plus sur la photo
Ne sois plus un robot
La musique est une solution magique
Une autre politique, une autre voix
Viva
Le temps d’une autre dimension
Des musiques explosion
De la danse qui sait bouger les idées
Viva
Le temps du changement de temps
De couleurs et de mots
Un contact nouveau, une émotion top niveau
BORDEAUX – SAN FRANCISCO
Didier Barbelivien – Raymond Donnez
Que tu roules à Bordeaux ou à San Francisco
Pourvu que t’aies le vent dans le dos
Que tu t’appelles Jean-Pierre, Jimmy ou Giancarlo
Pourvu que quelqu’un s’en souvienne
Que tu vives à Paris, à Londres, à San Remo
Pourvu que tu puisses dormir au chaud
Que tu chantes en anglais,
En français, en pipeau
Pourvu que ça veuille dire je t’aime
On a beaucoup donné pour les patries, les drapeaux
Faut leur expliquer qu’on est sur le même bateau
Y’a que le soleil qui peut changer notre couleur de peau
Notre identité, c’est d’être tous ensemble
Sur ce p’tit bout de planète qui tremble
Que tu roules à Bordeaux ou à San Francisco
Pourvu que t’aies le vent dans le dos
Que tu t’appelles Jean-Pierre, Jimmy ou Giancarlo
Pourvu que quelqu’un s’en souvienne
Que tu vives à Paris, à Londres, à San Remo
Pourvu que tu puisses dormir au chaud
Que tu chantes en anglais,
En français, en pipeau
Pourvu que ça veuille dire je t’aime
Refrain ad lib
COMME UN HOMME
Didier Barbelivien – Raymond Donnez
Comme le vent
Comme le printemps
Comme la saison d’aimer
Comme un bébé
Comme un frisson sur moi
Docile
Comme un chien que l’on caresse
Une panthère immobile
Comme une lettre
Comme un poète
Comme un amour d’enfance
Comme un silence
Comme une maison de campagne tranquille
Comme une larme de tendresse
Une vague au bout d’une île
Comme une aventure
Comme un slogan sur un mur
C’était toi, j’te jure
Que j’attendais
Que j’savais
Que j’voulais
Comme un homme
Comme un beau télégramme
Un signe indien
Comme un homme
Comme un soldat sans arme
Viens
Comme personne
Comme un vrai personnage
Comme un martien
Je t’attendais
Comme quelqu’un de passage
À bout de bouée de sauvetage
Comme le ciel
Comme le soleil
Comme la prison ouverte sur l’herbe verte
Comme de la dentelle sur moi, fragile
Comme un parfum de Guerlain
Une porcelaine de Chine
Comme une aventure
Comme un slogan sur un mur
C’était toi, j’te jure
Que j’attendais
Que j’savais
Que j’voulais
Refrain ad lib
BLEU PACIFIQUE
Claude Lemesle – Jean-Pierre Bourtayre
Bleu Pacifique
Couleur de l’océan
Tes yeux magiques
Et je me noie dedans
Bleu Pacifique
Couleur de ces romans
Dont la musique
Bercait mes nuits d’enfant
J’ai le cœur qui bouge
Sur la Terre de Feu
Entre un coup de blues
Et un bout de bleu
Quand des ombres noires
Flottent sur mes nuits
J’ai dans ton regard
La Californie
Bleu Pacifique
Couleur de l’océan
Tes yeux magiques
Et j’en oublie le temps
Bleu Pacifique
Couleur de la folie
De la rythmique
Qui fait danser ma vie
J’ai le cœur qui bouge
Sur la Terre de Feu
Entre un coup de blues
Et un bout de bleu
Quand des ombres noires
Flottent sur mes nuits
J’ai dans ton regard
La Californie
Refrain ad lib.
TU COURS APRES LE TEMPS
Georges Terme – John Cafferty
Seul sur la route
Dans ta tête y’a pas l’ombre d’un doute
Tes pensées démarrent au quart de tour
Le prochain arrêt c’est l’amour
Elle est belle comme de la musique
Pas trop sage à peine excentrique
Elle s’accorde à tes 18 ans
Tu cours après le temps
Tu cours après le temps
Tu lances une pièce en l’air
Pas de chance quand tout va de travers
Ton amour a changé d’adresse
Et même ton chien tire sur sa laisse
Elle est loin la petite musique
On voyage vers d’autres Amériques
Maintenant tu n’as plus 18 ans
Tu cours après le temps
Tu cours après le temps
Tous ces mots qui ne peuvent rien y faire
Te déclarent l’amour ou la guerre
Comme cette chanson dans la tourmente
Pleine de larmes et de diabolo menthe
Petit matin gris bleu
Quelque chose a changé dans tes yeux
Enfin tout est presque parfait
Ton enfant vient de s’éveiller
À nouveau la petite musique
Joue comme un refrain nostalgique
Et tu penses à tes 18 ans
Tu cours après le temps
Tu cours après le temps
Tu cours après le temps
