
LA PREMIÈRE FOIS
EN DUO AVEC MICHEL SARDOU

La première fois qu’on s’aimera,
Tu te rappelles ?
Celui de nous deux qui rira
Perdra son ciel.
Au fond de la nuit la plus longue,
Pour effacer le temps perdu,
On s’aimera comme si l’amour n’existait plus.
La première fois qu’on s’aimera,
Tu t’en souviens ?
C’est une promesse qu’on ne tient pas,
Qu’on fait pour rien.
Dans un voyage entre deux mondes,
Presqu’en état d’apesanteur,
On s’aimera comme si l’amour nous faisait peur.
Seuls on refait notre vie,
Celle qu’on aurait choisie
Si l’on pouvait revivre
Seuls dans cet univers de fous,
Sans personne entre nous,
Comme si nous étions libres.
La première fois qu’on partira,
Sait-on jamais ?
Nous choisirons le seul endroit,
Encore secret,
Où nous pourrons dans l’eau profonde
D’un fleuve à découvrir encore,
Nous aimer comme si notre amour, c’était la mort.
Dans un voyage entre deux mondes,
Presqu’en état d’apesanteur,
On s’aimera comme si l’amour nous faisait peur.
Seuls on refait notre vie,
Celle qu’on aurait choisie
Si l’on pouvait revivre
Seuls dans cet univers de fous,
Sans personne entre nous,
Comme si nous étions libres.
La première fois qu’on s’aimera,
Tu t’en souviens ?
Celui de nous deux qui rira
En rira bien.
Au bout de la nuit la plus longue,
Pour rattraper le temps perdu,
On s’aimera comme si l’amour n’existait plus.
La première fois qu’on s’aimera,
Tu te rappelles ?
Nous nous étions promis des joies surnaturelles
Au fond de la nuit la plus sombre,
Celle qui fait trembler les forêts.
On s’aimera comme si l’amour,
Nous l’avions fait.
L’ATLANTIQUE
EN DUO AVEC MICHEL SARDOU

Il est midi à Paris et toi tu dors encore
À Cold Canyon Water L. A.
Il est midi à L. A. et toi tu entres en scène
Sur les bords de la Seine, Paris.
Nous vivons des deux côtés d’un monde
À dix heures d’écart entre hier et demain.
2 degrés 20 minutes et 14 secondes,
C’est l’histoire du premier méridien.
Il est midi à Paris et pour toi c’est l’aurore,
Là-haut à Beverly L. A.
Je t’imagine endormi et si tu l’aimes encore,
Est-ce que tu m’aimes un peu aussi ?
Il fait noir, boul’vard du crépuscule.
Il y a des orages, même au paradis
Mais si l’on décidait d’accorder nos pendules,
D’aller du zéro à l’infini.
L’Atlantique au milieu
Et chacun sur sa rive,
L’Atlantique au milieu,
Un coup d’aile et j’arrive.
Les oiseaux de l’Occident
Nous verront passer au jour levant
Dans une machine
Qui court plus vite que le vent.
Attends avant de te réveiller, attends
Que je t’embrasse,
Que je te dise bonjour
Avant de faire la traversée,
Juste pour passer
Par-dessus le temps
Et pour effacer les océans.
L’Atlantique au milieu
De nos lointains rivages,
L’Atlantique au milieu
De nous deux c’est dommage.
Il est midi à Paris et mon avion taxi
Vient juste de quitter le sol.
Il fait soleil à L. A. prends pas ton parapluie.
Je t’attends sous mon parasol.
Il est midi à Paris et nous on dort encore
À Cold Canyon Water L. A.
Autour de nous c’est la nuit mais si tu m’aimes aussi,
Je me fous bien de l’heure qu’il est.
LES BALKANS ET LA PROVENCE
EN DUO AVEC MICHEL SARDOU
Si la Maritza
Coulait du côté de St-Paul-de-Vence,
Des Balkans jusqu’en Provence,
Alors les lavandes
Parfumeraient les plaines d’Orient,
De la Provence jusqu’aux Balkans.
Et si la mer Noire
Venait baigner les côtes de France,
Les Balkans seraient en Provence.
Alors le mistral
Au Danube donnerait l’accent
Et la Provence serait aux Balkans.
Mon père disait :
« Là-bas, c’est la liberté,
La France… la Méditerranée. »
Et le mien chantait,
Comme un tzigane heureux,
Daudet, Pagnol et Jean le Bleu.
L’amour, l’amitié
Feraient passer toutes les distances
Des Balkans à la Provence.
L’Est et le Midi,
Cheveux bruns, cheveux blonds se mêlant,
La Provence et les Balkans.
Alors je serais
Magali ou Fanny
Et toi Jordan ou Wassili.
J’aurais vu le jour
Entre Byzance et Roumanie
Et toi sous le soleil d’ici.
La vallée des Roses
Et l’Estérel se rejoignant,
La Provence et les Balkans.

DANSE TA VIE
(B.O.F Flashdance / I. Cara – K. Forsey – G. Moroder / M. Mallory
Danse dans le silence
Sur la scène de ta vie
Et puis danse sur tes larmes
Et l’amour enfui
Danse seul dans ta tête
Fais un geste, fais un pas
La musique est en toi
Danse-la !
Danse ta liberté
Dans la foule ou le bruit
Si tu vis, alors danse ta vie !
L’évidence, c’est la danse !
Invente une musique et ta vie, danse-la !
Suis la lumière imaginaire
D’un soleil qui n’existera rien que pour toi !
J’ai dansé sur des peines
Pour m’en faire des sourires
J’ai dansé sur des chaînes
Pour m’enfuir !
L’évidence, c’est la danse !
Tu existes, alors toute ta vie, danse-la !
Sur un fil !
Invisible
Sur le fil des jours, tes amours tu danseras
Alors danse !
L’évidence ! (Tu danses ou tu tombes !)
C’est la danse (On va dans le monde !)
Tu existes, alors toute ta vie, danse-la !
Sur un fil (Tu danses ou tu tombes !)
Invisible (On va dans le monde !)
Oh, va danser ta vie ! (Tu existes, alors tu danses !)
Va danser ta vie ! (Tu peux danser toutes les danses !)
Sur la lumière (Tu danses ou alors tu tombes !)
Imaginaire (Tu t’en vas au fond du monde !)
Alors danse ! Danse ! Danse ! Va danser ta vie !
L’évidence : tu existes, alors tu danses (C’est la danse !)
Tu peux chanter tout le temps !
Sur un fil !
Tu danses ou alors tu tombes !
Tu t’en vas au fond du monde.
TOUT FINIT PAR LE SOLEIL
(F. Basset / C. Morgan)
C’est écrit
Jupiter va m’aider à lui plaire
Demain lundi
S’il revient pour chercher ses affaires
Et puis mardi l’influence de Mercure
Apaisera nos blessures
Et quand viendra mercredi
Alors Mars le fera réfléchir
Et il comprendra aussi
Que l’on a plein de choses à nous dire
Dans l’horoscope c’était pas du tout prévu
Qu’un jour il ne m’aimerait plus
Tout s’arrangera, tout finit par le Soleil
Tout est blanc bleu pour nous deux
Vénus est entrée dans mon ciel
Lui et moi, c’est la chance
Tout finit par le Soleil
Tout est dit dans l’horoscope
C’est écrit
De jeudi à samedi c’est Saturne
Qui gommera tous les malentendus, les rancunes
Enfin dimanche sous l’influence d’Uranus
Il m’aimera encore plus
Tout s’arrangera, tout finit par le Soleil
Tout est blanc bleu pour nous deux
Vénus est entrée dans mon ciel
Lui et moi, c’est la chance
Tout finit par le Soleil
Tout est dit dans l’horoscope
Tout s’arrangera, tout finit par le Soleil
Tout est blanc bleu pour nous deux
Vénus est entrée dans mon ciel
Lui et moi, c’est la chance
COMME LE LIERRE AVEC LUI
Eyes of Jenny – H. Vermeulen / F. Basset
Toutes les fleurs se sentent chez elles
Chez celui qui les trouve belles
Oui mais pas moi, oh non, pas moi
Je suis fière d’être superficielle
D’être amoureuse occasionnelle
Quand je vois ça, quand je vois ça
Et quand je vois les plantes s’attacher le cœur
Pour un regard, pour un peu de chaleur
Moi, je suis contente de voyager tout le temps
Et je me sens libre comme la fleur que souffle
Dans tous les espaces la fille du Larousse
Je suis comme cette fleur semée à tout vent
J’ai oublié une partie de ma vie
J’étais comme le lierre avec lui
Je m’étais attachée à lui
Avec toute mon âme
Lui qui n’était qu’un mur d’indifférence
J’étais comme le lierre avec lui
Pourquoi j’ai oublié ?
Je n’sais pas, je ne suis plus la même femme
Il y a trop de fleurs qui se fanent
Pour un bonheur sous cellophane
Je ne veux pas ce bonheur-là
Je me sens bien, indépendante
Loin de la vie sécurisante
Quand je vois ça, quand je vois ça
Il faut bien trop de soucis et de pensées
Pour garder pour soi un jardin secret
Il arrive un jour où rien n’est sûr, vraiment
Moi, je me sens libre comme la fleur que souffle
Dans tous les espaces la fille du Larousse
Je suis comme cette fleur semée à tout vent
J’ai oublié une partie de ma vie
J’étais comme le lierre avec lui
Je m’étais attachée à lui
Avec toute mon âme
Lui qui n’était qu’un mur d’indifférence
J’étais comme le lierre avec lui
Pourquoi j’ai oublié ?
Je n’sais pas, je ne suis plus la même femme
Je m’étais attachée à lui
Avec toute mon âme
Lui qui n’était qu’un mur d’indifférence
J’étais comme le lierre avec lui
Pourquoi j’ai oublié ?
Je n’sais pas, je ne suis plus la même femme
DÉPRIME
(Sweet Dreams) A. Lennox / D. Stewart / M. Mallory
Déprime, à quoi tu rimes
Avec ton parfum d’aspirine
Ne perds pas ton temps
Plus rien ne me mine
J’ai le moral et les idées clean
C’est lui ma médecine
Mon antidote, le remède à tout
Rien ne me contamine
J’ai le sourire à l’épreuve de tout
Déprime, à quoi tu rimes
Avec ses joies que tu abîmes
Passe ton chemin, tu as mauvaise mine
Ton image de marque décline
Ça va pas ? Qu’est-ce que t’as ?
Tout va bien !
Ça va pas ? Très très bien !
Qu’est-ce que t’as ?
Tout va bien !
Ça va pas ?
Très très bien !
Qu’est-ce que t’as ?
Tout va bien !
Ça va pas !
Tout va bien !
Qu’est-ce que t’as ?!
C’est lui ma médecine
Son amour, c’est le remède à tout
Déprime, je te réprime
Dans ton jeu, tu n’as plus un atout
Déprime, t’as plus la prime
Je te renvoie dans ton abîme
Tu n’as plus de quoi faire de la frime
J’ai le moral et les idées clean
Déprime, à quoi tu rimes
Avec ses joies que tu abîmes
Passe ton chemin, tu as mauvaise mine
Ton image de marque décline
Déprime, je te réprime
LUCIE
(M. Mallory – E. Vartan)
Elles étaient toutes mariées
Les filles de son âge, vous pensez
Elle n’avait plus une amie, Lucie
Elle était si réservée
Qu’elle s’était réfugiée
Dans quelque bondieuserie, Lucie
Alors elle s’est démodée
Manteau noir, cheveux tirés
D’avance elle s’était vieillie, Lucie
Jusqu’à ce matin d’été
Où cet homme est arrivé
Et que tout a changé pour Lucie
Lucie
Il n’était ni beau ni laid
Il était comme elle rêvait
Il vaut mieux tard que jamais
Et puis
Ils se ressemblaient un peu
Encore jeunes et déjà vieux
Elle semblait faite pour lui, Lucie
Alors on l’a vue changer
Comme un jardin en été
Elle devint presque jolie, Lucie
Des fois même elle souriait
On l’entendait qui chantait
Même en plein après-midi, Lucie
Lucie
Ils sont partis en vacances
Dans le Midi de la France
Elle est revenue sans lui, Lucie
Qu’est-ce qui a pu se passer ?
Elle n’en a jamais parlé
Elle a repris sa vie en gris, Lucie
Elle doit garder dans son cœur
Son premier bouquet de fleurs
Et quelques photos jaunies de lui
L’amour n’a fait que passer
Il n’a pas su s’arrêter
Elle était presque jolie
Lucie
Lucie
DISPARUE
(Varj Mig Felkel Majd Anap – F. Demjén / I. Lerch / M. Mallory)
La femme que j’étais avait fini son voyage
Je me porte disparue
Comme la Croix du Sud en son lointain naufrage
Je me porte disparue
Retour case départ je recommence
Un autre amour autant qu’une autre vie
Et rien d’autre n’a vraiment d’importance
Tout le reste est porté disparu
Mes fausses illusions et mes semblants de victoires
Tous mes rêves d’absolu
Mes incendies de cœur et mes amours mirages
Je les porte disparus
Pertes et profits, mes chagrins et mes larmes
Objets perdus, solitude et regrets
Rien ne compte plus que d’être une autre femme
Tout le reste est porté disparu
Mon passé est porté disparu
Ne me recherchez plus ni ailleurs ni même au diable
Je me porte disparue
Avec toi, corps et biens, et restons introuvables
Je nous porte disparus
Et fini mes combats de l’impossible
Mes coups de cœur et mes causes perdues
Et je me sens un amour invincible
Tout le reste est porté disparu
Mon passé est porté disparu
Oh, tout le reste est porté disparu
Mon passé est porté disparu
NOVEMBRE A LA ROCHELLE
(M. Mallory)
En novembre à La Rochelle,
Pourquoi là, plutôt qu’aux Seychelles,
Rome ou Paris.
Il en a fallu des hasards,
Un train manqué, ce quai de gare,
Un soir de pluie.
De l’hôtel, on voyait la mer,
Les bateaux sous le ciel d’hiver,
C’était joli.
Soudain, mon cœur a eu des ailes
Tout ça semblait si peu réel,
En novembre à La Rochelle.
En novembre à La Rochelle,
Je ne sais pas si tu t’en rappelles,
Tant pis, moi oui.
Le papier à fleurs de l’hôtel,
La chambre au parfum de cannelle et bois vernis.
On a rien fait que faire l’amour,
Sans s’occuper des heures, des jours,
Même des nuits.
Tout ça semblait presque irréel,
Pourquoi novembre et La Rochelle,
Que venait faire l’amour ici ?
En novembre à La Rochelle,
Ce restaurant dans la ruelle, tout près du port.
J’ai parlé de lui et toi d’elle,
Le rêve refermait ses ailes, chacun son sort.
On avait volé cet amour à nos deux vies,
Pour quelques jours dans ce décor.
Je ne sais pas si tu t’en rappelles,
Quelque part, la vie était belle,
En novembre à La Rochelle.
Je ne sais pas si tu t’en rappelles,
Quelque part, la vie était belle,
En novembre à La Rochelle.
COMME UNE GOUTTE D’EAU
(M. Mallory / J.-P. Stora – A. Frank)
Comme une goutte d’eau
Qui rêverait de bateau
De vents et de tempêtes
De vagues, mais je divague
Comme une goutte d’eau
Quand le soleil est trop chaud
Moi, de t’attendre encore
Je m’évapore
Viennent l’orage et les nuages
Laisse pleuvoir un peu ton cœur
Tu fais alors de moi un océan
Mais si tu t’en vas
Je suis larme, je suis
Une goutte d’eau
Au fond du lit d’un ruisseau
Un diamant oublié
Qui brille et scintille
Comme une goutte d’eau
Je glisse le long de ta peau
En perle de tes yeux
D’amour il pleut
Tu peux me faire
Torrent, rivière
Pousser mes rives à l’infini
Et je suis l’oasis dans ton désert
Mais si tu t’en vas
Je suis larme, je suis
Une goutte d’eau
Perdue au milieu des flots
L’amour, c’est en un mot
Une goutte d’eau
TA VIE DE CHIEN
Akujo
(M. Nakajima / F. Basset)
On est tous les deux, mon chien,
Moi ma peine, toi ton coussin.
C’est toujours la même scène quand les gens, que j’aime,
Brillent par toute leur absence.
Encore tous les deux, mon chien,
Tu somnoles dans ton coin,
Tu me couves d’un regard plein de tendresse, en vigilance.
Ton maître et moi, tu sais bien
Qu’entre nous, c’est temps de chien.
Tu ne veux pas savoir pourquoi,
Tes balades au bois, tu les dois à l’un comme à l’autre.
Pour toi, les problèmes humains se règlent en léchant les mains,
Fidélité tu connais, t’es pas là pour compter les fautes.
Et moi, j’ai besoin de ta vie de chien,
C’est un peu comme mon dernier refuge.
D’avoir ta bonne tête à portée de ma main
Et d’oublier ces gens qui me jugent.
Et moi, j’ai besoin de tes bons yeux de chien
Pour changer des regards qu’on me lance.
J’ai besoin de ta vie de chien,
Sitôt qu’elle revient s’installer l’absence.
Tu sens à des petits riens
Que je ne suis pas très bien,
Tu sais que ma vie et moi,
Quand plus rien ne va,
On se regarde en chiens de faïence.
Mais si ton maître revient,
Obéis à ton instinct,
Montre-lui toute ta joie,
Faut pas compliquer l’existence.
Et moi, j’ai besoin de ta vie de chien,
C’est un peu comme mon dernier refuge.
D’avoir ta bonne tête à portée de ma main
Et d’oublier ces gens qui me jugent.
Et moi, j’ai besoin de tes bons yeux de chien
Pour changer des regards qu’on me lance.
J’ai besoin de ta vie de chien,
Sitôt qu’elle revient s’installer l’absence.
Latino (Zoot Suit)
LIVE
Cada sábado en la noche
yo me voy a revolotear
con mi lindo muchacho
las caderas a menear.
Él lo hace muy sabroso
cuando empieza a guaracha
y al compás de los timbales
yo me siento estallar.
Mi novio sabe bailar la rumba,
bailar la rumba y la zumba,
baila guaracha sabrosón,
el jarabe y el danzón.
Mi novio sabe bailar la rumba,
bailar la rumba y la samba,
baila guaracha sabrosón,
el jarabe y el danzón.
Hermano, póngase abusao
que los tiempos ya han cambiao,
usted está muy agitao
y el chapute atravesao.
Antes se bailaba el swing,
boogie-woogie, chiripal,
pero eso ya torció
y esto es lo que sucedió :
Mi novio sabe bailar la rumba,
bailar la rumba y la zumba,
baila guaracha sabrosón,
el jarabe y el danzón.
Mi novio sabe bailar la rumba,
bailar la rumba y la samba,
baila guaracha sabrosón,
el jarabe y el danzón.
¡He !
Mi novio sabe bailar la rumba,
bailar la rumba y la zumba,
baila guaracha sabrosón,
el jarabe y el danzón.
Mi novio sabe bailar la rumba,
bailar la rumba y la samba,
baila guaracha sabrosón,
el jarabe y el danzón.
Chœurs :
Hermano, póngase abusao
que los tiempos ya han cambiao,
usted está muy agitao
y el chapute atravesao.
Antes se bailaba el swing,
boogie-woogie, chiripal,
pero eso ya torció
y esto es lo que sucedió :
Mi novio sabe bailar la rumba,
bailar la rumba y la zumba,
baila guaracha sabrosón,
el jarabe y el danzón.
Mi novio sabe bailar la rumba,
bailar la rumba y la samba,
baila guaracha sabrosón,
el jarabe y el danzón.
¡He !
Mi novio sabe bailar la rumba,
bailar la rumba y la zumba,
baila guaracha sabrosón,
el jarabe y el danzón.
Mi novio sabe bailar la rumba,
bailar la rumba y la samba,
baila guaracha sabrosón,
el jarabe y el danzón.
¡Arriba !
LE DIMANCHE
(J.-L. Dabadie / E. Vartan)
Dans le car
De quatre heures moins l’quart
Qui rentre à Paris
Mes copains chantent et rient
On n’est que des garçons
Mon nom moi c’est Simon
Toute la semaine
J’attends ce moment
De revoir Maman
Même si j’ai de la veine
Dans cette pension superbe
Un grand lac et de l’herbe
Le dimanche
On est ensemble
Les passants disent qu’on se ressemble
On s’promène, on s’dit je t’aime
En r’gardant le ciel et la Seine
Le dimanche
On est ensemble
Mais quand même j’ai le cœur qui tremble
On s’promène, on s’dit je t’aime
En r’gardant les bateaux sur la Seine
Toute la semaine
Je m’donne de la peine
Pas mal en français
Mais moyen en anglais
Et en mathématiques
Je suis plutôt comique
Le dimanche
J’aime bien quand il pleut
Je joue avec elle
Elle n’est pas fantastique
Aux jeux électroniques
Mais elle fait ce qu’elle peut
Le dimanche
On est ensemble
Les passants disent qu’on se ressemble
On s’promène, on s’dit je t’aime
En r’gardant le ciel et la Seine
Le dimanche
On est ensemble
Mais quand même j’ai le cœur qui tremble
On s’promène, on s’dit je t’aime
En r’gardant les oiseaux à Vincennes
Dans sa chambre
On voit une photo
Devant une auto
Une femme et un homme
Qui se regardent comme
Si je n’étais pas là
Et voilà la nuit
Qui m’ennuie
Tombe doucement
Sur la robe de Maman
Il est six heures et quart
Et je reprends le car
Mais le dimanche
On est ensemble
Les passants disent qu’on se ressemble
On s’promène, on s’dit je t’aime
En r’gardant les bateaux sur la Seine
Le dimanche
On est ensemble
Mais quand même j’ai le cœur qui tremble
On s’promène, on s’dit je t’aime
En r’gardant les oiseaux à Vincennes
Le dimanche
On est ensemble
Les passants disent qu’on se ressemble
On s’promène, on s’dit je t’aime
En r’gardant le ciel et la Seine
Je t’aime
Je t’aime

LES BEAUX MOMENTS
Les beaux moments d’la vie
C’est le présent et c’est aujourd’hui
Vivre l’instant qui vit
Qui sait ce que sera demain, demain, demain
Et les moments d’amour
Que l’on vit ne reviennent pas toujours
Qui vivra aimera
Tous mes beaux moments sont à toi, à toi, à toi
Tu t’en vas ?
Tu sors encore ce soir ?
Je comprends
Mais si, je comprends
Ça ira
T’inquiète pas, ça ira
Tu rentreras ? Tu n’es pas sûr ?
Écoute, je ne pose plus de question
Il y a une chose que je voudrais te dire avant que tu t’en ailles
J’t’ai aimé toute ma vie, j’t’aimerai toute ma vie
Je ne dis pas ça pour te rendre coupable
J’t’attendrai ici, j’t’attendrai ici

ENCORE
(J.-L. Dabadie / E. Vartan)
Oui comme une maison
On croit fermer son cœur
Les joies et les jours sombres
On laisse tout dans l’ombre
On range ses passions dans l’armoire aux liqueurs
On met sous une housse
Son corps et sa peau douce
Oui comme une maison, son cœur, sa vie, son corps
On ferme tout mais on garde la clé encore
Encore, encore,
Encore l’amour
J’en veux encore
J’y crois encore
J’en ai encore
J’en donne encore
Encore des montres pour des rencontres
Des quais de gare pour les regards
Et des trains bleus pour les adieux
Encore du temps
Sinon autant
Le temps qui reste
Pour tant de gestes
Pour tant de mots
J’en sais de beaux
Des rendez-vous
Des chiens et loups
Encore des larmes
Et des alarmes
Des téléphones
Le cœur qui sonne
Dis-le moi
Chante-le moi
Écris-le moi
Crie-le moi
Fais-le moi
La vie est une maison
Où l’on courait enfant
Les portes ferment mal
Et parfois on a mal
À travers les cloisons
La mémoire se défend
Il suffit d’un visage
D’une photo passée
On pense à tant d’images
Et je sais, on partage
Tous nos jouets cassés
Mais ce n’est pas assez
Encore, encore,
Encore l’amour
J’en veux encore
J’y crois encore
J’en ai encore
J’en donne encore
Encore quelqu’un
Encore je t’aime
Encore une main à la fenêtre
Encore je t’aime en bas d’une lettre
Des rendez-vous
Des chiens et loups
Encore des larmes et des alarmes
Des téléphones
Le cœur qui sonne
Encore, encore
Encore l’amour
J’en veux encore
J’y crois encore
J’en ai encore
J’y crois encore
Encore, encore, encore
